Nos 5 gagnants du faux-vrai concours sont :
Alors oui, ça fait 4 mois que y'a des skins alternatives prévues mais figurez vous que y'en a qui bossent BANDE DE SOUS MERDES. ET QUAND ILS BOSSENT PAS ILS SONT EN VACANCES ET OUAIS. ET DU COUP ILS MATENT DS TRUCD DE CULND OK
Bon, bref. J'ai fini les 2 thèmes qu'il me restait à faire depuis quelques mois.
Donc mis à part le fait que ILS SONT TOUS POURRIS TANTOUZES PUTE PUTE BITE, ils sont biens.
Voici les différents thèmes, on les incrustera sans doute quelque part, peut-être même caché, mystère. (Le nom, quand y'en avait pas, j'ai mis au pif, tant pis pour vous)
Voilà.
Etant un fier partisan d'Hunter S. Thompson et fervent défenseur des valeurs du gonzo-journalisme, j'ai pensé que le Violongay était le genre de sujet qu'il fallait couvrir totalement, en privilégiant une rencontre en tête à tête afin de cerner complètement le personnage. Je sens grandir en moi la flamme qui à dû animer les grands reporters de ce siècle, je pense à Albert Londres, Gunter Walraff et autres Robert Namias. Que d'émotion devant ce simple appartement du Violongay. Que d'émotion, mais que de fierté aussi. Hervé Claude, Jean-Claude Narcy, faites place, ténors du journalisme ! J'arrive.
Vu que Antipho il me casse les couilles parce qu'il y a trop de porno et de gore j'ai décidé de faire un effort et de proposer une technique de modification qui se passe en chambre noir pour obtenir un effet vraiment classe en jouant sur la surexposition et les plans intermédiaires. Le tout est fait à l'argentique avec des modèles amateurs qui se sont prêtés au jeu sans même demander de retour. J'accepte d'ailleurs les book et/ou vidéos casting de certaines futures modèles voulant se lancer dans le show bizness, Sachez que je fais avant tout cela pour le plaisir de l'objectif et moi ce que j'aime dans la photo c'est réussir à saisir l'instant présent, une initiative qui a tendance à gêner mais moi je suis une tête brûlée et plus rien ne m'arrêter.
Ma première vraie confrontation à internet fut pour ainsi dire contre mon gré. Outre la vidéo vue sur portable de ce soldat prisonnier se faisant égorger et appelant à la douleur comme un cochon, celle de cette femme se faisant pénétrer par la ronde tête de son partenaire envoyée par ma douce maman par mail ou encore les trans à grosse bite (j'adore les trans avec des énormes teub pour peu qu'on les confonde avec des femmes), une expérience s'est offerte à moi.
C'est des copains, ils sont gentils, ils sont polis, ils sont sympas.
c juste pr pasé devan cet sal gross fiote de volia pck c vremn une tapette ce mec
aler voila gro shlag c ki lavan dernier mintan bim ta le seum pd va ak ton mask de tapet vazy
on sen balle les couiles
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