Déstructuré (vlv)

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Les anges tout là-haut mataient ça d’un œil rieur, surement.  Les corps eux, un à un s’effondraient,  en des bruits sourds, sourds et livides.  Avide, les mains derrière les fusils.  Les mains qui ne tremblaient pas en arrosant de tourments. L’odeur  âcre et acéré de la mort qui prend aux cœurs, de l’amour pour toujours.  Cet hiver-là, l’automne est indien ; coupant  comme un scalpe.

Au loin déjà, les lueurs bleutés tournantes  et tonitruantes. Il faut bien supposer que nous  sommes toujours préparés ; il y a des morts depuis les vivants. Une déviance depuis la norme. Et, des corps vivants et entraînés qui sortent des camions noirs bleutés, afin d’éliminer les cellules folles, de rétablir une situation normale.  Encore l’odeur de mort qui sort du canon, puis des explosions et plus rien.  Juste nos vie, juste le vide.

Seulement la naissance d’un vaste silence. Un silence d’une lourdeur incroyable, déchiré par des cris évoquant une détresse irréelle.  La mort n’est pas encore partie. Elle doit prendre encore les presque morts. Et chacun ce soir-là était mortifié. A vide derrière des écrans plats. De vagues émotions  voyagent dans les fibres et cuivres. Certains cris portent plus loin que d’autres.  A croire qu’il existe un marché de détresse.

Une odeur. Et, l’ombre des dresseurs de nébuleuses et de pelouses se rappelle à nous, via un effluve de fioul.  Il y a donc un dieu tueur de Léviathan . Un dieu de poussière, que nous regardons de marbre de par une illusion monétaire.

 

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10 coms pour Déstructuré (vlv)

  1. coolcoolbite dit :

    intense

  2. A ton tour dit :

    Mésanges soûlards trop mataient sales d’Hanoï brilleur, foutrement. Les poreux, un à un s’affrontaient, endémique lourds, sourds et timides. Avis de, les mains derrière les uzi. Les trains qui ne rampaient pas en accroissant de tournants. L’eau de nâcre et assez près de la mort qui se vend oklm, de l’amour j’fourre tous les jours. C’est hivernale, l’automne est un bien ; coulant comme un scrabble.

    Au moins déjà, les sueurs bleutées touchantes et toutes nitruantes. Il saute bien surposée que nouilles sont toutes du jour préparées ; Iliade est mort depuis les gisants. Une délivrance depuis la morne. Et, des sorts enivrants et vie de traînées qui offrent des camillons poires bleutés, afin d’élimé les libellules folles, de répartir une suspicion normale. Encore logeur de mort qui sort du fanon, pluie des explosions et pluie rien. Juste novice, juste le vice.

    Seulement la décence d’un vaseux silence. Un silence d’une odeur incroyable, déchiré paradé Christ éloquent une détresse irréelle. La mort n’est pas encore farcie. Elle doit pendre haut et court les presque morts. Et chacun ce soir-là était morniflé. Ravis derrière des écrans gras. Des algues et potions voyagent dans les truites et huitres. Certes Fabrice porte plus loin que d’autres. Asseoir qu’il n’excite que l’homme archer de faiblesses.

    Un décodeur. Et, l’ongle des treize sœurs de fabuleuses et de pelouses se rappelle à nous, via un fleuve de fioul. Il y a donc un vieux tueur de Ménilmontant. Un lieu de poussière, que nous regardons de choco-marbré de par une ébullition planétaire.

  3. Ohaï dit :

    Ohaï !

    🙂

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