Je suis réaliste à l'extrême. Pas pessimiste. Avec des idées optimistes de temps en temps, bref, dire que j'suis normal fait chier car j'peux avoir l'air de prouver que je ne le suis pas. Et si je ne suis pas normal, j'aimerais juste l'être. Un an, voir +. J'ai pas connu une année entière où mon comportement ne m'a pas foutu dans la merde, et j'ai l'impression que les gens normaux arrivent à distinguer quand ils se foutent dedans ou pas. Et dire que des gens anormaux se foutent pas dans la merde marche pas, car c'est pas se comporter différemment des autres qui rend anormal, c'est ne pas réussir à distinguer le présent, et savoir comment se comporter à ce moment là. Etre capable de réfléchir sans se dire à la toute fin de la réflexion "Puis merde, j'vais faire comme j'en ai envie dans le fond."
Un alcoolique est dans un état dépressif. Mais un alcoolique boit tous les jours, je pense. Moi je picole pas tous les jours, je me saborde avec violence de temps en temps, comme un mec qui va monter a 300KM/H au volant de sa voiture, pour retourner à 90, le cœur encore à fond, content de l'avoir fait, content de ne pas être mort de sa bêtise.
Y a beaucoup de raisons qui me poussent à écrire des textes, c'est pour ça que j'en commence beaucoup, et en supprime presque autant. Ce qui me les fait publier ? La même chose qui me pousse à me ridiculiser ivre devant des gens qui m'apprécient ou pas, qui me connaissent ou pas, l'alcool.
"L'alcool ça va pas t'enlever tes problemes.", bien sûr, sinon y aurait moins de problèmes sur Terre, et beaucoup plus d'alcooliques, j'pense même qu'il y aurait moins de drogués. Mais pendant les 24 heures suivantes, si t'a assez bu d'alcool pour avoir ruiné ton corps, il prend le pas sur ta tête, et tu ne penses plus aux problèmes qui t'ont fait boire la veille.
Tu penses qu'à quelques trucs comme "Faut pas que je me couche sans une bassine a côté de moi", "J'ai tellement mal au bide, est-ce que je me fais vomir ?", "De l'eau et des pâtes vont-elles pouvoir rester dans mon ventre ?". C'est pas un cancer ou un sida, tu sais que ça va passer avec du repos, du coup tu stresses pas d'en mourir, c'est juste 24-48 heures où tu ne penses plus à grand chose.
Des gens s'inquiètent, ils utilisent des mots qu'ils pensent compréhensibles par tous. Tu dis "protéger" j'entends "inquiétude", tu dis "auto-détruire" j'entends "exagération", tu dis "connard" j'entends "y a de l'écho". Les gens sont pas trop cons à force, ils s'eloignent pour éviter les problèmes que je peux leur causer sobre, et que je veux leur causer ivre. Ceux qui ne s'éloignent pas sont pas des cons, juste aveuglés par l'amitié, la morale, l'amour, la compassion, tous les trucs de films americains, avec Jennifer Anniston qui revient vers l'acteur X qui lui a brisé le coeur.
Quand à l'avenir ? Pas grand chose à dire qui n'a pas déjà été dit, boulot, femme, maison, enfant, divorce, remariage, re-enfant, retraite, maladie, solitude, mort. Les trois derniers mots peuvent être placés à n'importe quel moment dans cette suite de mot en fait. Y a accident aussi, un peu comme un déconnexion internet, tu sais pas quand ça arrive, et quand ça arrive tu peux pas envoyer un texto à tes amis pour leur dire que ta connexion a planté, c'est déjà trop tard.
Les textes sobres sont plus sérieux. A ne pas lire quand on est enthousiaste car y a pas vraiment grand chose de drôle, comme une belle métaphore sur un sexe rentrant dans un cul, et pas grand chose de sexuel, comme un récit de rapport threesome. Limite, les textes sobres sont plus chiants a lire.
J'aimerais bien raconter une histoire sur des gonzesses un peu connes qui se laissent baiser facilement, partir dans un trip où mon sexe est le plaisir numéro un de toutes les pétasses que tu connais. Mais ça sert pas à grand chose, puis ma plume est pas assez bonne pour te faire t'astiquer en lisant. J'aimerais.
Tu seras avec ta main gauche tenant l'élastique de ton sous-vêtement pour qu'il ne te broie pas les couilles, puis même sans sous-vêtement, t'as pris l'habitude de mettre la main là.
J'agrémenterai mon texte par quelques gifs, très rares, pour ne pas le rendre illisible, avec des filles aux yeux de biches, mais pas trop, qui te font te rappeler des filles croisées dans la rue.
Ne pas t'eloigner trop de la réalité pour ne pas que tu perdes le goût d'avoir vidé ton sac d'idées recueillies sur le trajet de ton boulot/école. Car se branler sur des pornstars te rend juste un peu plus frustré de niquer ta copine aux proportions moins idylliques.
Tu seras avec ta main droite tenant ton sexe, que tu masturberas jusqu'a l'éjaculation, sans te soucier de mettre ton sperme dans un kleenex, t'essuieras ta main et ton sexe avec le tee-shirt que ton ancienne boîte n'a pas récupéré après t'avoir licencié.
Bref, une branlette normale, d'un gars normal, qui va continuer à lire ce texte car il a pas grand chose à foutre d'autre.
Aimer quelqu'un sans le comprendre, en ayant limite peur de lui, pas de ses gestes violents, mais de ses idées. C'est assez déconcertant comme idée.
Voila, un mec a parlé de trucs de gens qui vivent des trucs, j'ai la blase, j'arrête ce texte, à une prochaine fois.
pour Encore un
J’aurais bien quelques gif à mettre dans cet article, par exemple :
Voilà, j’pense que c’est assez bien adapté…
Même pas d’anal dans tes gifs, crétin…
De la merde.
34/40
Rarement vu une crise pré-trentenaire aussi chiante.
T’es une merde, fils de con, et si tous les connards comme toi se regroupaient sur un continent, yaurait de quoi faire tomber la terre. Au lieu de te complaire dans tes masturbations éthyliques, à te gargariser de réflexions puantes d’une mauvaise foi digne de celles du mec qui encule sa mère handicapée les soirs où la lune l’excite un peu trop, parce que de toutes façons il est victime de l’histoire. Le genre de résidu de capote qui décide du haut de son pseudo-réalisme débectant qu’on est toujours seul alors à quoi bon essayer de faire autre chose que de s’envoyer des shots de bile sceptique en se fourrant des bras dans le cul histoire de voir s’il peut se palper le foie. Alors ouvre tes yeux encroûtés de la merde que tu t’y étales avec une délectation morbide d’adolescente romantique, et ferme la gueule à ce petit dialogue désabusé de castrat vaniteux qui peut pas saquer ses erreurs et qui étouffe ce qui lui reste de raison en les répétant frénétiquement, sauf si tu veux devenir une de ces ordures haineuses et aigries, qui ont pour principe qu’on est toujours seuls. Fils de pute regarde et écoute.
J’ai lu le début et la fin. Regarde et écoute quoi ?
Je viens finalement de lire, c’etait pas très long, j’aime bien le moment où tu m’insultes et me traites de merde et tu dis « sauf si tu veux devenir une de ces ordures haineuses et aigries ».
Tu te sens pas comme ca en ce moment ?
Wesh
J mange même pas ma merde pd
J’ai même pas lu ce que tu as écris
J’men fou j’suis bourré, personne est la j’peux faire mon chaud
C’est triste que la poésie s’en sorte aussi mal au XXI
La poésie va bien, ne t’en fais pas. Tu fais juste parti des ces connards qui ne s’intéressent qu’aux oeuvres validées par plus d’un siècle de critique.
La validation
J’pourrais même mettre une page wiki sur la croquette basque mais j’le ferais même pas, t’es thus ou tu l’es pas, pute j’suis une pute de l’espace, j’suce des gigolos tentaculaires, j’suis j’suis j’suis j’suis la sale pute d’homer, nique et merde
Voila, sans conscience je fais ce que font les rappeurs, j’te baise ton look, pétasse.
J’aurais pas dis mieux !
Je voulais dire thug mais j’ai volontairement écorché le mot
Ca arrive !
Et essayez pas de truc ou quoi, Tout le monde peut l être
Sisi
Si je devais faire une instru je ferrais un truc lourd avec de la musique classique, BAM !
Ta gueule grognasse
Bizarre la barbe.
« Je suis réaliste à l’extrême. Pas pessimiste. » Non t’es pessimiste pd… c un grand truc de pessimiste de se dire kils sont réalistes pour se justifier. la vérité c’est que tu peux également etre réaliste ET optimiste…… donc ca a aucun sens ce que tu dis. soit t’es pessimiste et ta un discours comme celui ke ta soit tes optimiste et ta un discours joyeux ou normal, mais arreté tous de dire « nan mais jsuis réaliste » pck ca veut rien dire.
https://www.rodoni.ch/busoni/sade/journees.pdf
Nan mais attends, j’vais reporter ton texte de Sade à la police nationale et à la gendarmerie, et là les conséquences ne seront pas les mêmes…
J’te jure j’vais le faire, zarma.
Tu penses peut-être que c’est une blague, tu crois que je fais de l’humour…
arnaud 1985 il t’a démonte mon gars!^^
Perso j’ai pas lu, j’avoue moi aussi j’aimerais bien qu’on me prenne un peu plus au sérieux, et qu’au fond les gens se sentent atteint par l’obscénité de mon expression.
Et puis qu’en fait ils seraient impressionnés par mon style dompté d’une lucidité accablante.
Jtrouve sa metaphysique.
Et encore une fois je me surprendrais à jouir plus de cinq fois d’affilé sur des filles qui coutent cher.
Après j’essuierai mon foutre avec les biffetons que je leur aurais crachés en faciale.
Mais comme tu dis si bien mon frère, après l’orgasme vint la désillusion parcequ’il ne vécurent pas heureux et eurent beaucoup d’enfant. Là j’avoue t’as raison.
Alors je rentrerais chez moi les poches et ma bourse vide.
La prochaine fois je pense que j’appellerai seulement jennifer, elle à l’air assez amicale. Elle au moins ne mens pas sur son age, très vite elle a entammée la discussion.
Alors j’ai cru construire l’amour sur un matelas sale. Mais la conversation prenait trop de place dans le temps qu’il m’était imparti pour pouvoir jouir sur son corps de petite pute disponible.
Du coups je m’ai vénèr, je l’ai désappé le pantalon et sans plus attendre j’ai sorti ma bite par l’entrebaillement de mon caleçon et jlui ai pété ses genoux de cochonne. Afin qu’elle crie fort, par la bouche.
Ensuite jl’ai écarté sévère pour rentrer mon gros boudin dans son fion, elle m’a dit arrête ça fait mal. Mais comme je croyais qu’on étais ami, je me suis dit qu’elle voulait en savoir plus.
C’est alors que lorsque tout d’un coups alarmé par les cris, vint un homme d’une carrure d’au moins mille fois ma taille.
J’étais sérieusement indisposé, à moitié accroupe sur jennifer. À peine eu-je le temps de me retourner qu’il m’a éclaté la gueule d’un grand coups de rangers du côté de ma tempe, du coups j’ai la tête qui a tourné sec et a ricoché contre le coccyx à jennifer.
Après je me rappelle de rien.
À l’heure où je t’écris je suis dans le mal et je ne peux t’écrire ce commentaire qu’à partir d’un mécanisme de contrôle assitée par la vision.
Et pour changer de chaîne de tv il me faut émettre des signaux avec ma langue tellement j’ai le corps cassé.
D’ailleurs je revends ma playstation si ça t’intéresse.