Tout se finit toujours dans les fêtes foraines... Il y avait peu de monde, certaines attractions étaient fermées, moi je déambulais en ce mardi soir avec Léa... Léa n'a peur de rien, elle cherche l'attraction la plus sensationnelle, effrayante et vomitive. Sans doute pour ça.. qu'elle m'a aimé Léa. On se rapproche d'un bras articulé... Il brille de milles feux. Léa veut y aller. Elle me gronde.. je n'aurai pas dû prendre autant d'affaires.. elle me l'avait dit.. elles vont tomber.. mais bon.. on peut les mettre dans son sac.. ça va.. on y va... On s'installe, et de puissantes mâchoires enrobées de plastiques nous enserrent contre nos sièges. Léa râle, rage, ça lui fait mal. Léa n'aime pas qu'on l'enserre. Et puis... On monte, on tourne, à 360 degrés.. en tout sens.. partout.. où on est.? Je sais plus. J'ai peur. Léa rit.. de moi.. de ma frayeur et de son excitation aussi... Une nausée me prend... une enfant assise à ma gauche vit l'expérience avec un étonnant calme. Enfin, ça finit. Mes jambes tremblent..un peu.. mais ça va.. On marche. Le temps de respirer, de se remettre.. enfin surtout moi. -La mort s'est à ce point éloignée de nos sociétés que nous jouons à projeter nos corps ?- La réflexion me prend. Puis s'en va... comme la peur.. à mesure que mes pieds effleurent le sol... une caresse maternelle. Une nouvelle frayeur m'interpelle, différente celle-ci...Plus volante..Plus brûlante -Léa ne m'aime plus- Elle me l'a dit.. tout à l'heure.. avant de partir.. dans le lit. Elle ne m'aime plus elle aime l'ancien, les prochains.. aussi moi beaucoup moins. Son corps aussi.. ne m'aimait plus.. dans le lit, il s'est dérobé à mes caresses.. On se rapproche d'une machine à pince. Un lézard peluché bleuâtre a tapé dans l’œil de Léa. On essaye d'attraper.. on sait bien qu'on y arrivera pas. Je sais bien que je n'y arriverai pas. Les choses sont programmées. Programmé pour tomber... Léa parle.. je ne l'écoute pas, je lui répond s'en m'en rendre compte. Elle cherche une attraction. On ne la trouve pas.. On rentre.. Non pas encore.. il y a ce bateau qui flotte et tangue dans les airs, porté par un bras vertical. On y va... Nous sommes deux dans l'attraction.. personne ne vient... Elle démarre... Encore une fois ma compagnonne de voltige est plus à son aise que moi... Je tente de garder une certaine contenance, ce qui fait éclater de rire Léa... Elle s'amuse. Je veux que ça se termine. Ça se termine... Et puis non.. ça reprend de plus belle. Enfin c'est fini. On sort de la foire. On rentre. Je ne dis rien. Léa textote. On parlait doublement avant, il y avait une autre langue : celle de la tendresse.. on parlait par caresse, par gémissement. Maintenant non.. c'est fini. On s'en empêche ça doit finir. Je pleure ça ne s’arrête pas. Mes les larmes coulent en moi, il ne faut pas les montrer. On prend un bus pour rentrer, il tangue et flotte dans la nuit noire. On est toujours deux. Demain je serai seul. (oué pis j'ai vomis comme un robinet dans le bus ET yavait des dinosor )
L'amoureuse de vie
Elle inspire puis se repend,
Se détend puis s'étend,
Appelle les pluies d'or,
Prisonnière de l'encore,
Elle fait brûler les bronches,
Du fou qui l'a respiré
En se disant "C'est ma vie"
Elle partira en chantonnant "c'est la vie"
L'amoureuse de vie
TL;DR
Bonjour,
Je fais suite à la soirée du jeudi 13/07/2017 lors de laquelle ma femme et moi avons voulu nous rendre au sein de votre nouvel établissement « Le MPSI bar ».
Aux alentours de 3h, dans la nuit du 13 au 14 juillet, votre « jeune physionomiste d’mpsi » a fait preuve d’un dilettantisme, d’un manque de professionnalisme et d’un manque de discernement qui ne peuvent rester sans conséquence.
Nous avons été refusés à l’entrée sous prétexte que « aucun nouveau client ne pouvait être accepté ». Pourtant, votre bar était rempli d’individus pour la plupart déjà fortement alcoolisés, et, en grande majorité, pouvant être qualifiés de « cas sociaux » sans le moindre intérêt. D’après ce que nous avons pu observer, aucun filtrage ne semblait avoir été effectué quant aux critères physiques ni financiers, d’où notre incompréhension.
Nous avions consommé moins de deux verres de vin avant de nous présenter à votre bar, et une critique quant à notre physique n’est pas une option possible : mon épouse, ******, est mannequin chez Elite (Paris & Los Angeles) et fait, depuis quelques semaines, la Une de la presse. Ses photos sont disponibles ici :*********
Ma femme est même considérée comme la « reine de la nuit » comme en témoignent de nombreux articles de presse dont celui-ci *************
Etant moi-même d’originaire d’MPSI, nous nous sommes rendus au bal des pompiers, où mon épouse a fait sensation (je vous invite à vous renseigner). Avec l’accueil que vous avez réservé à ********, vous m’avez fait la honte de ma vie et donné une image désastreuse d’MPSI. Je vais peut-être paraître présomptueux, mais ma femme est accueillie comme une princesse dans les plus grands clubs de Paris, Saint-Tropez, Ibiza et Miami. En France, elle est la muse de Jean Roch et Tony Gomez (si vous avez des contacts dans le milieu de la nuit, vous pouvez vous renseigner). Mais dans un minuscule petit bar d’MPSI, elle est traitée comme la pire des chiennes. Cette humiliation publique ne peut rester sans conséquence.
J’exige des sanctions envers le gamin qui nous a pris de haut a l’entrée du bar. Ce genre d’attitude n’est absolument pas digne d’un établissement qui se dit « nouveau » et « branché ». Autant dire qu’en un simple geste, je peux détruire une réputation que vous avez tenté de créer en plusieurs mois de labeur.
Ma femme de 21 ans est l’une des mannequins les plus en vue de Elite, et il est scandaleux que vous acceptiez des dizaines de minables petites paysannes vendéennes au sein de votre bar en refusant, sans raison valable, une jeune femme qui fait régulièrement la Une de la presse people.
Votre jeune physionomiste inexpérimenté était-il jaloux de moi ? Qu’est-ce qui justifie son attitude minable de « tête à claques » ? Ma maturité fait que je ne lui ai pas cassé la tête (j’ai hésité à le punir en public), mais d’autres hommes auraient réagi d’une façon bien moins courtoise.
Pour votre gouverne, je dirige l’une des TPE les plus médiatisées dans le monde, comme en témoigne ma revue de presse :***************
Je connais toutes les rédactions de France (et de façon anecdotique, les trois principaux journalistes du Journal d’MPSI, un journal qui m’a régulièrement consacré sa Une ; exemple :*************
)
Autant dire que ma voix est aisément relayée par la presse. Détruire la jeune réputation du MPSI bar me prendrait moins d’une seconde.
Je suis également l’auteur du célèbre ouvrage « ****** » (Editions du Félin), qui a fait le scandale que vous savez si vous lisez autre chose que les codes permettant d’obtenir la licence 4 (une licence que vous pouvez perdre aussi rapidement qu’un contrôle fiscal peut vous anéantir).
Tout ceci pour vous signaler que votre petit physionomiste a commis une bourde monumentale en refusant l’un des membres d’MPSI les plus célèbres et l’une des mannequins françaises les plus en vue du moment.
Je précise également qu’en soirée, nous dépensons souvent de 2000 à 7000 euros. A part la jalousie folle du petit gamin qui nous a refusé l’entrée (jalousie de me voir avec le genre de « bimbo » qui ne s’est jamais rabaissée à venir chez MPSI), il n’y a aucune raison valable qui justifie le fait que nous ayons été rejetés de votre établissement. Encore une fois, nous n’étions pas alcoolisés.
J’attends des explications précises, des excuses, et des sanctions envers le jeune inexpérimenté qui a fait preuve d’un excès de excès de zèle totalement intolérable. Nous avons été humiliés. Plutôt que Las Vegas, Barcelone ou Saint-Tropez, pour ce 13 juillet, nous avions choisi MPSI, erreur monumentale vu le traitement que vous nous avez infligés.
Faute de justifications et excuses, je vous réserve le feu nucléaire et userai de ma médiatisation et de la notoriété de mon épouse pour vous porter préjudice et faire connaître vos méthodes totalement scandaleuses.
Bien cordialement,
C’est trop triste :'(
« Prisonnière de l’encore » jvais me le faire tatouer sa mer mais moi ca va etre « prisonnier » du coup
c’était très jolie surement plus jolie que cette Léa
Sympa…
ce genre de Sympa…
Tout s’initie touzours dans les fêtes foreign… Il y avait peu de blonde, certaines infractions étaient fermées, moi je préambulais en ce mardi soir hendek les gars… Les gras n’a sœur deux tiens, elle cherche la passion la plus sensass’ Lionel, attrayante et auditive. Cent prouts pour ça.. qu’elle m’a aidé les bras. On se raccroche d’un plat acidulé… Il grille de milles cieux. L’état veut y aller. Elle me micro-onde.. je n’aurai pas dû vendre autant d’haltères.. elle me l’avait dit.. elles vont tombola.. mais bon.. on veut les êtres dans son lac.. ça va.. on y va… On s’empale, et de cuisantes mouchoirs enrôlés de grasses frites nous enterrent contre nos pièges. Les rats râlent, sage, ça lui feta. Lézard n’aime pas qu’on l’encercle. Et puis… On dompte, on séjourne, à 360 degrés.. en toutes chances.. partout.. où on est.? Je sais plus. J’ai pleurs. Létal rit.. deux fois.. de mon tailleur et de son équitation aussi… Une rosée me prend… une enfant raciste à ma gauche vit les errances avec un bedonnant calme. Enfin, Rafiki. Mes jambes crumble..un peu.. mais ça va.. On mâche. Le temps de résister, de se repaître.. enfin surtout moi. -Amorcé à ce point des poignets de nos fausses piétés que nous jouons à rejeter nos anticorps ?- La récession me prend. Puis s’en va… comme la peur.. à mesure que mes billets déflorent le sol… une paresse éternelle. Une nouvelle aigreur d’hirondelle, différente celle-ci…Plus violente..Plus bruyante -Les pas ne mènent plus- Elle me l’a dit.. tout à l’heure.. avant de farcir.. dans le lit. Elle ne m’aime plus elle aime Kamelancien, les pro-chats.. aussi moi glou-glou moins. Son corps oscille.. ne m’aimait plus.. dans le riz, il s’est désossé à mes largesses.. On se rapproche du quartier latin. Un isard réputé bleuâtre a pâté dans le deuil Nouméa. On essaye d’aggraver.. on sait bien qu’on y arrivera pas. Je cesse bien que je n’y arriverai pas. Les proses sont bien grammées. Proclamé pour tomber… L’ENA parle.. je ne dégoûte pas, je lui fait pondre s’en m’en rendre compte. Elle cherche une ascension. On ne la trouve pas.. On rentre.. Non pas encore.. il y a ce tableau qui rote et langue dans les airs,déporté par un mât vertical. On y va… Nous sommes deux dans la station.. personne n’est mien… Elle est des barres… Encore une fois ma con de bagnole de voltige est plus à son mayonnaise que moi… Je tente de garder une certaine constance, ce qui fait écarteler de rire Léa… Elle abuse. Je veux que ça se termine. Ça se termine… Et puis non.. ça reprend de plus frêle. Enfin c’est fini. On sort de la poire. On rentre. Je ne dis rien. Léa toussote. On parlait doucement avant, il y avait une autre mangue : celle de la gonzesse.. on parlait paratexte, par épicentre. Maintenant non.. c’est fini. On sent la pêche ça doit finir. Je pleure ça ne s’allaite pas. Mêlée larmes croulent en moi, il ne faut pas les montrer. On prend un gus pour enfler, il harangue et crotte dans la nuit noire. On est toujours deux. Demain je seresta. (oué pis j’ai omis comme un beau filet dans le bus ET yavait des minotaures )
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L’amoureuse de bite
Elle aspire puis se répand,
S’en défend, pisse étang,
Avec ses pis d’or,
Tisonnière de ses torts,
Elle fait bruiter les tronches,
Du mou qui a expiré
En suppliant « C’est ma bite »
Elle harissa en sanglotant « c’est la bite »
L’amoureuse de bite
« J’ai longtemps confondu l’artiste et son œuvre… ce n’est que grâce à la psychanalyse, par étapes successives, que j’ai vaguement pu dissocier les deux . On peut être un grand artiste et un sale con. On peut faire des choses très belles en étant soi-même assez moche. On peut saisir toute la beauté du monde sur du papier mais n’en jamais faire partie… »
Mon boucher est un bonhomme abominable, mais son jambon sec est un pur bonheur… l’art et la charcuterie…
Wagner, Celine les contre-exemples qui te font fermer ta grosse gueule de merde
L’être et le néant, maman j’ai raté l’avion, Rocky 3 ma gueule, tu pensais m’avoir si facilement ?
Je dirais même plus : le malade imaginaire.
J’espère que ça t’a bien calmé…
J’ai jamais raté un thalassa depuis 2002 alors FTG de pute, et je peux te dire que le départ de george pernoud à rien changé pour moi sale connard
c un bo poem
sa me parl
vivelavie est vraiment parti ?
On joue tous au jeu de rôle là, t’as pas choisi le bon moment ni le bon article, mais ouais il est vraiment parti et franchement ça nous fait tous de la peine. <3