les recettes pour faire un bon texte sur mpsi, y en a aucune car quand tu fais pas une vidéo ou une selection des meilleurs prolapsus du web, beh t'es une merde. y a meme deeplake il fait des trucs où a la fin y a des dinausaures et son idée est tombé si bas que comme ton caca aux chiottes tu sais pas où c'est parti.
pour du bon texte faut parler du lecteur, et comme la communauté mpsi c'est comme le cinéma ricain, tu veux juste savoir avec qui ils baisent, dans quels positions, et est ce qu'ils ont des trucs déviants que tu fais avec ton mec mais que quand c'est une meuf qui joue dans hunger games beh du coup c'est beaucoup plus marrant, alors on va balancer sur les histoires de cul des auteurs d'mpsi !
t'es vraiment
une merde, t'a voulu que je te raconte des trucs comme quand intel a fait une missionaire desastreux a une fille qu'etait peut etre un peu trop saoule ? merde, beh non, laisse moi juste installer une histoire.
c'est thibault ( merde thibault tu sais meme pas comment l'orthographier ) il grandit dans un lycée un peu chiant, il se passe des trucs mais il est jamais concerné. il se contente juste des bruits de couloirs, des trucs entendu en cours.
des fois y a le samu qui passe recuperer un mec qu'a trop bu, des fois y a les flics qui viennent faire une descente pour trouver deux trois barretes de 20 mais jamais thibault a connu une des personnes impliquées.
thibault a un prenom de merde, et un entourage de merde, aucun d'entre eux sait ce qui se passe dans l'underground du lycée. c'est triste car sans compter les absences de prof, il y passe 9heures par jour.
il est juste la hyene du lycée, il vit sur les restes des autres cador , ceux qu'il admire. ils portent des joggings avec un pull et une paire de springcourt. thibault aimerait les memes et dieu sait que ca me fait chier d'ecrire le prenom thibault a force du coup on va l'appeler titi, car titi c'est pas chiant et ca me plait. de toute facon vous avez lu vivelavie vous pouvez bien vous cogner ce texte.
tu t'attend a une intrigue, a un truc qui meme a une chute, un denouement ou un truc du genre, mais j'en ai vraiment pas l'envie.
pendant sa deuxieme année de terminal, titi se sent pousser des ailes car avec une année de plus et un bac echoué au rattrapage, il se dit qu'il a au moins un peu plus de cred que les autres. alors titi se dit : je vais rentrer dans l'underground du lycée pour bosser mon network.
titi demanda a ses potes de venir trainer près du coin des fumeurs au lieu de trainer près du portail, les oreilles trainent et deja titi entend parler de deal de cigarette, quel chance, si a force d'entendre les ragots avant qu'ils sortent, il pourrait devenir la premiere hyene a bouffer le cadavre d'une metaphore sur les propos etc.
mais notre perso principal ne se doute pas qu'en fait il est deja la vicitime de ses propres ecoutes.
effectivement, après avoir trainé avec ses amis pendant plusieurs récrés près du coin des fumeurs, il ne s'attendait pas a voir le tiranausaurus rex des dealers, une personne dont il n'a jamais entendu parler.
"phase de dialogue que j'ai la flemme de créer"
c'est quand titi regardait ses amis d'un air "vous approuvez ma vanne non" que ce petit con de 17 ans se pris une mandale dans la gueule qui le fit tomber a terre.
depuis ce jour, titi resta près du portail en regardant chaque arrivé de bus pour voir si le gros dealer arrivait, près a rentrer dans l'enceinte du lycée.
MOI JE DIS POURQUOI PAS.
non mais c’est bien ton truc, arrête de chialer sale cleps
au fait, vous pouvez enlever la pub en un coup en appuyant sur SUPPR nimporte ou
merci bb
salut, j’ai cru que la fin allait parler de dinosaures prêts à manger la population mondiale et je m’apprêtais à applaudir le talent et l’audace, sans pour autant manquer de souligner l’absence d’originalité…
C’est bien tous ces textes, mais je trouve ça un peu trop méta-loser, genre : « alors là je vais écrire un paragraphe sur la mort, mais ma mère est morte, donc vous devez imaginer une suite à la fin de l’histoire… » Mec : on s’en tape de ton état d’esprit au moment de la rédaction de l’article. Si t’as envie de parler de ta vie : assume. Si t’as envie d’écrire une histoire : assume. Mais arrête d’être le cul entre deux chaises stylistiques entre fiction narrative et synthèse de ton expérience d’écriture.
Si tu suis mes conseils, tu pourrais avoir le prix Goncourt en moins de 2 ans et obtenir le label « nouvelle vague » décerné par mpsi lors de sa cérémonie bi-annuelle.
« Les recettes pour faire un bon texte sur mpsi » loooool le mec qui veut plaire à tout le monde… Ca me rappelle l’article : « comment bien s’intégrer sur mpsi ? » Je te recommande de le relire.
ca marche pas dplk
Ben si regarde, t’es quand même un peu intégré… En tous cas, beaucoup plus intégré qu’1cube 1cubé depuis le temps, c’est bien la preuve par A + B que monACHTUNG ! SCHNELL SCHNELL ! SIG HEIL.
Même Oncella aussi commence à s’intégrer.
ten a dla chance ke jé otan mangé sinon jme sré levé pour te foutre ta zézerre
c’est gentil de dire ca, mais je pensais a ton taunt, t’a du croire j’etais race ou oncela
taunt lol tu té trop cru sur doofus mec, tout le monde est cool ici…
tu crains
Je fais suite à la discussion de DANLALUNE…
Merci d’avoir lancé ce sujet : on se sent moins seule tout d’un coup 🙂
Voilà mon « histoire » :
Juin 2002 : j’habitais à Palaiseau (région parisienne…), je devais prendre le rer pour aller passer mon BTS à Villepinte = plus d’une heure de train pt1cable:{}
Arrivée à proximité d’Aulnay sous Bois : je suis en sueur, je tremble de partout : j’en peux plus : PIPI VITEEEEE.
Je descends du train avec une copine en prenant le risque d’arriver en retard pour l’épreuve…(=on ne sait jamais : plus de trains car problèmes techniques, …), pipi dans un bistrot (avec obligation de payer une consommation 🙁 )
Voilà, ça ne m’a pas traumatisée + que ça : je refais le trajet pendant 2/3 jours (je ne me souviens plus de la durée de cet examen).
et puis… la descente aux enfers… sweat:{}
Depuis octobre 2002 : J’ai tout le temps envie de faire pipi. Je pense que l’épisode du RER en est la cause…
Je travaille sur Versailles = de porte à porte (maison/bureau)=1 heure.
Les toilettes du RER dégueu ou fermés : au fur et à mesure, j’angoisse de plus de plus de faire ce trajet..
Janvier 2003 : diarrhées : oh, ça doit être une gastro…
Les jours et les mois passent, les rendez-vous chez les médecins (urologues et gastro-entéros) se suivent, les diagnostics se ressemblent : « C’est dans la tête !! Faut voir avec un psy ».
A 24 ans, c’est dur d’entendre ça.
Entre-temps : je n’arrive plus à prendre les transports en communs, une vraie galère :mon copain me dépose chez mes parents (qui habitent à 15 min en bus de mon bureau) à 5h du mat’, je finis ma nuit, je vais au taf, il me récupère le soir, retour à la maison : l’horreur.
On bosse tous les 2 à Versailles, pourquoi pas y emménager, ça arrangerait peut être mon problème… ?! Résultat : un petit appart’, plus de parking, plus de cave, … et un loyer plus cher.
Pendant 2 mois : plus de problèmes (caca costaud 😉 et pipi supportable).
Le temps passe et mes problèmes revienne,t : maux de ventre atroces, mes intestins qui se vident, – 12 kg, pipi incessants=pétage de câble !!
A 25 ans, bientôt 26, je me suis décidée à consulter une psy..chiatre
ça fait environ 1 mois que j’y vais, …(1/2 heure=50 euros) (la Sécu rembourse 25,.. euros, la mutuelle, le reste…): pas de réelles améliorations mais elle me fait me poser des questions que je ne me posais pas avant… on verra… il paraît que le travail est long…
ET CE SOIR, découverte de ce sujet de discussion : quel soulagement bounce:{} , 1/ je ne suis pas seule 2/ on va s’épauler (enfin, pour celle, et ceux, qui auront eu le courage de lire ce longggggmessage jusqu’au bout : ça fait du bien de vider son sac 🙂
Merci de continuer à partager nos souffrances, nos angoisses et bientôt nos « guérisons » bounce:{}