C’était sympa. La réincarnation, certes fruit sacré des gothiques (Bien qu’ils soient tous exterminés), reste tout de même quelque chose d’intéressant. Sans se noyer dans les méandres scientifiques et autres arguments, quelques questions se posent : pourquoi êtes-vous dans ce corps, et pas dans celui d’un autre, et qu’est-ce qui a fait que vous soyez à l’intérieur ? Qu’est-ce qui a fait que vous êtes vous ? Ici ? Devant votre écran ? Et pas ailleurs ? Pourquoi sommes-nous seul sous une peau ? Et cette idée d’unité, d’où vient-elle ? Pourquoi ai-je été cette molécule ? Ce ne sont pas des questions proprement existentielles… C’est différent encore… Je crois que, nous pouvons croire à la réincarnation. Car, si vous avez été pondu sans le savoir, vous le serez sans doute une seconde fois : c’est logique. Ca le paraît, du moins. Pas spécialement avec le même caractère. Mais, on vit une autre fois, oui, c’est sûr. Parce que cette idée d’hasard, du genre « Je suis un humain, et pas une araignée » est assez particulière… Et mérite le questionnement. Ainsi que sa croyance.
VOILA JE L’AI DIT J’AI BIEN AIMÉ QUOI Y A UN PROBLEME ?? CHUIS UN PD ?? NON JE CROIS PAS ! C’EST VOUS UN PD PUTAIN MAIS VOS GUEULES J’AI LE DROIT D’AIMER CE QUE JE VEUX PUTAIN NIQUE TOUT NIQUE TOUS NIQUE LES RAGEUX ET LES FILS DE PUTE ET LES GROS FILS DE PUTE DE FACHO
En fin de compte le problème soulevé est assez original, unique, puisque c’est celui de l’Humanité. Humanité en majuscule car Humanité propre, à l’un et à l’autre, et pourtant ni adjective ni subjective ni qualificative ni objective; Humanité transcendantale, Humanité du moi dans l’univers et de l’univers en l’Humanité, en moi, en chacun donc pas universelle mais appropriée ; pourtant intégrée, plus : vécue par l’individu dans le nombre et le nombre dans l’Humanité. Comprenons-nous, l’Humanité ne se décline pas puisqu’elle transcende, l’Humanité ne se consomme pas puisqu’elle nous fonde, nous, ses créateurs. Nous la pensons sans l’anticiper et pourtant nous la savons intemporelle donc passante et passée.
C’était sympa. La réincarnation, certes fruit sacré des gothiques (Bien qu’ils soient tous exterminés), reste tout de même quelque chose d’intéressant. Sans se noyer dans les méandres scientifiques et autres arguments, quelques questions se posent : pourquoi êtes-vous dans ce corps, et pas dans celui d’un autre, et qu’est-ce qui a fait que vous soyez à l’intérieur ? Qu’est-ce qui a fait que vous êtes vous ? Ici ? Devant votre écran ? Et pas ailleurs ? Pourquoi sommes-nous seul sous une peau ? Et cette idée d’unité, d’où vient-elle ? Pourquoi ai-je été cette molécule ? Ce ne sont pas des questions proprement existentielles… C’est différent encore… Je crois que, nous pouvons croire à la réincarnation. Car, si vous avez été pondu sans le savoir, vous le serez sans doute une seconde fois : c’est logique. Ca le paraît, du moins. Pas spécialement avec le même caractère. Mais, on vit une autre fois, oui, c’est sûr. Parce que cette idée d’hasard, du genre « Je suis un humain, et pas une araignée » est assez particulière… Et mérite le questionnement. Ainsi que sa croyance.
tg
Ah mais merde putain, je suis la réincarnation d’une parisienne anorexique, ça craint.
Et en plus je me dis de me fermer ma gueule, oulala.
VAZI
j’ai bien aimé
VOILA JE L’AI DIT J’AI BIEN AIMÉ QUOI Y A UN PROBLEME ?? CHUIS UN PD ?? NON JE CROIS PAS ! C’EST VOUS UN PD PUTAIN MAIS VOS GUEULES J’AI LE DROIT D’AIMER CE QUE JE VEUX PUTAIN NIQUE TOUT NIQUE TOUS NIQUE LES RAGEUX ET LES FILS DE PUTE ET LES GROS FILS DE PUTE DE FACHO
c tro filosofik pour mw@ dsl ^^ »
Encore de la branlette espagnole.
C’est un peu un sujet vu et revu, mais j’ai assez aimé.
En fin de compte le problème soulevé est assez original, unique, puisque c’est celui de l’Humanité. Humanité en majuscule car Humanité propre, à l’un et à l’autre, et pourtant ni adjective ni subjective ni qualificative ni objective; Humanité transcendantale, Humanité du moi dans l’univers et de l’univers en l’Humanité, en moi, en chacun donc pas universelle mais appropriée ; pourtant intégrée, plus : vécue par l’individu dans le nombre et le nombre dans l’Humanité. Comprenons-nous, l’Humanité ne se décline pas puisqu’elle transcende, l’Humanité ne se consomme pas puisqu’elle nous fonde, nous, ses créateurs. Nous la pensons sans l’anticiper et pourtant nous la savons intemporelle donc passante et passée.
g pa compri lol
je préfère quand y a du caca
Vous êtes moi!
Hum, non, tu n’as pas compris : c’est toi qui est nous.
Merci Lco, tu sauves tes camarades.