REVANGE FROM FUCKIN HELL FUN QUEST (Oncela5eva)

Salut mon ptit PSI !!!

Je vais faire cours aujourd’hui parce que j’ai des trucs importants à faire après.

Non jdéconne

Bon, comme t’as vu, je viens avec un titre qui en jette et tout, alors j’ai du avoir une putain d’idée.

Les vidéo, les poèmes de deyo, toussa c’est cool, mais en attendant mon tour pour aller défoncer les autres pédés dans un duel dont personne a rien à branler de toute façon, j’ai envie qu’on s’amuse ensemble, tous les deux. Et j’ai un jeu à te proposer, justement !

Les règles de ce jeu sont simples : je vais commencer à te raconter une histoire, tu la continue comme tu veux, puis tu passes le relai à un autre connard.

Quelques restrictions, cependant : on va éviter de tomber dans le pavé imbuvable, donc pas plus de 500 mots par passage (mais 200 mots c’est bien aussi), et on va aussi éviter de tomber dans un ego-trip ou ché pas comment le dire, mais bref on évite de créer des personnages qui nous représentent, sinon ça va terminer en partouze pour savoir quel personnage viole le plus la sœur des autres et ça ne sera plus FUN.

Sinon tu fais ske tu veux : voyage dans le temps, changement de sexe, vampires épileptique ou déesses berbères, jmen branle tant que tu me fais mouiller le cul.

Donc là tu vois jvé commencer le truc, et après si tu veux participer tu mets dans les commentaires « oué je veu particper » et alors comme ça celui qui aura fini d’écrire son passage pourra dire « maintenant c’est à machin de continuer l’histoire». Puis quand tout le monde aura participé, on refera un tour, etc.

Mon passage ça sera le numéro 1, celui d’après le 2, etc. Indique quel numéro tu fais.

Ton passage de l’histoire que t’as écrit, tu le laisses dans les coms, et si les zauteurs sont pas trop des pédés, y en aura bien un qui mettra à jour cet article pour que ce soit pas trop le bordel à suivre.

Mais, de toute façon, si tu te prends vraiment au jeu et qu’on écrit plein de truc, ça sera forcément le bordel. On peut pas faire un long truc dans les commentaires d’un article qui sera en 3ème page dans deux jours. En fait, là, on fait juste un petit test pour voir si t’as envie de jouer.

Si ça te plais, on fera un truc à part bien mignon (soit les zauteurs feront une section à la con ou je sais pas, soit j’irai héberger ça sur un blog quelconque et les autres pédés mettront un lien) et on pourra continuer à faire notre merde tranquille entre amoureux.

Pour avoir déjà joué à ce jeu quand j’étais plus petit (best days eva! yavé monkey et tout et tout), jvais te donner deux-trois conseils cool :

- essaie de développer l’intrigue à chaque passage, te contente pas de faire des blagues sans conséquences ou des descriptions à la con

- mets toujours le prochain auteur en difficulté, impose lui une situation à partir de laquelle il devra se débrouiller

- écris ce qui te fait bander, parce que les autres vont forcément détester

Et voilà, on est bon pour partir ! (bon j’ai fait 800 mots, parce qu’il fallait bien un truc solide pour démarrer).

LCO, tu m’avais dit que l’idée te plaisait, donc si t’es chaud prends la suite. Si t’as pas que ça à foutre dis-le et je choisirais quelqu’un dans les coms.

1 – Oncela5eva

John avait connu Léa à la fac de droit, durant leur première année. Ils s’étaient immédiatement aimés, sans concession. Ils avaient aménagé ensembles durant la fin de leur master, puis s’étaient mariés une fois leur barreau passé. Léa était enceinte et John était le plus heureuse des hommes. Ils n’étaient encore que collaborateurs dans un petit cabinet Lillois et vivaient humblement sur leur maigre salaire, mais leur amour et l’espoir que représentait leur futur enfant les comblaient amplement.

 

En juin, ils avaient pris deux semaines de congés pour partir camper sur la Côte d’Azur avec leurs anciens amis de fac, Léa n’étant enceinte que de trois mois et pouvant encore se le permettre. Un soir, ils étaient tous sorti en ville, profiter des nuits douces et animées des côtes méditerranéennes. Vers minuit, Léa, fatiguée et ne pouvant s’autoriser à boire autant que les autres, rentra seule au camp se coucher, laissant son époux et ses amis s’amuser entre eux jusqu’au petit matin. Elle n’arrivera jamais au camp.

Dès son retour, John avertit la police de sa disparition. La fin de ses congés arrivée, il expliqua sa situation à son cabinet et prit une chambre sur la côte pour rester dans la région le temps de l’enquête.

 

Deux mois passés, alors que John avait perdu espoir et ne demandait plus qu’à faire son deuil, on retrouva enfin le corps de Léa. Il était enterré à l’arrière d’une petite cabane, aux alentours de Marseille, en six endroits différents – son corps ayant été préalablement démembré. Le cadavre de leur enfant, avorté, reposait à côté, en un septième endroit. La cabane abritait une table d’opération rudimentaire, des outils de jardinage rouillés par le sang et le trépied d’un caméscope qu’on imaginait avoir filmé toute l’agonie de Léa. Le propriétaire de l’endroit, Georges Tessat, 37 ans, au chômage, était introuvable. Il avait manifestement participé au supplice de la jeune femme, comme en témoignait la présence de son sang et de sa semence mêlés à celui de Léa sur le sol et les différents outils.

 

Du moment de cette nouvelle, John ne se donna plus qu’une seule raison de vivre : il retrouverait Tessat avant les autorités et lui ferait subir ce qu’il méritait ou, si Tessat était arrêté, attendrait qu’il ait exécuté sa peine pour le retrouver. Il prit une autre chambre sur Marseille, ne prenant pas la peine d’avertir ses associés de ses motivations. Pendant trois mois encore, il mena ses propres investigations dans la ville, jusqu’à ce que la police le recontacte : Georges Tessat avait été retrouvé à la frontière espagnole, s’était défendu, tuant deux policiers, puis avait été abattu dans le feu de l’altercation.

 

Sans attendre ni hésiter, ayant déjà envisagé cette éventualité, John défit la corde d’un des rideaux de sa chambre, la noua à la tringle, monta sur la chaise de son petit bureau, passa le nœud autours de son coup et fit basculer le siège. Sa mort mit quarante seconde à venir. Il ne vit pas sa vie repasser devant ses yeux, ne ressenti aucun remord, n’appela aucun Dieu.

 

Etourdit et faible, il se réveilla dans une petite pièce sombre, éclairée par une seule lampe posé sur une table au centre. Un homme entra par une porte derrière lui. Il était petit et frêle, portait un costume gris, le regard profond et déterminé. Il l’invita à s’assoir autour de la table puis ouvrit son classeur et commença à lire. « Jonathan Dimiais, né le 16 novembre 1984 à Lille, en France… Enfance plutôt calme, jeunesse sérieuse, sans trop d’excès, tempérament assez agréable dans l’ensemble, une certaine bonté d’âme, même. Un peu de haine sur la fin, mais bon, y a toujours un peu de haine, de toute façon. Et… ah… suicide. Bon, j’aurais dû commencer par la fin ». Il referma son classeur pour s’adresser directement à John, resté silencieux et perplexe.

_ Je suis désolé pour vous, vous aviez l’air d’un type sympa mais, là, c’est sans appel, je ne suis même pas maitre de ma décision : vous descendez.

_ Je descends ?

_ Oui, en enfer, mon frère. Et pour l’éternité – au cas où vous me le demanderiez.

Le vieil homme se leva, ouvrit l’une des deux portes dans le fond pour inviter John à la prendre. Ce dernier s’en rapprocha, abattu et agar, avant de s’adresser une dernière fois à son interlocuteur.

_ Dites, Monsieur, vous n’auriez pas vu passer un certain Georges Tessat, il y a quelques heures ?

_ Vous savez, je vois beaucoup de monde passer.

_ Un homme ayant vécu à Marseille, en France, 37 ans, tué par la police. Il avait torturé une femme, l’avait avortée, puis avait tué deux autres hommes avant de mourir.

_ Ah, oui, je vois très bien, en fait. Ma décision ne fut pas longue à prendre dans son cas non plus. Il a pris cette porte-là, lui aussi.

_ Merci, Monsieur. Bonne journée à vous.

Esquissant un étrange sourire, John s’enfonça vers les abîmes.

 

 

Dans THE INTERNET. Là t'as le permalien.

Un com pour REVANGE FROM FUCKIN HELL FUN QUEST (Oncela5eva)

  1. The Coon dit :

    Oncela … Y a des topics sur jv.com pour ça…

    Demande de ban !

    • Empereur Greroux XII dit :

      Oncela … tu sers à rien. Va faire tes RP dans la forêt avec tes potes et laisse nous tranquille.

      • Monkey dit :

        VAZI LA LAISSER LE TRANKIL IL A FAIT SA A LA BIEN LE PETIT

        POUR MES POTES EN BAS DES BLOCS ON LE FAIT A LA BIEN
        POUR MES POTES SUR MYSPACE ON…

  2. Oncela5eva dit :

    @ grerou

    jai pa dotr pote ke vou

  3. Putricide d'amonium dit :

    J’ai arrêté au premier paragraphe. Nan mais merde! C’est quoi ce soap de merde!? Tu regardes trop plus belle la vie mon gars…

  4. Yatta dit :

    Putri , t’aurait pas du t’arreter au premier paragraphe , moi j’ai aimé. je veut la suite MAINTENANT !

  5. Seek my duck dit :

    Salut ça farte ?
    MDR’

  6. Deeplake dit :

    Je suis réellement partagé sur ce post… Je répondrai plus tard quand j’aurai un avis là dessus, mais là ça me vient pas.

    • oi dit :

      ALORS FERMES TA GUEULE PUTAIN FERMES TA GUEULE

      • Monkey dit :

        Et connard t’as compris qu’on attendait encore ton dessin pour le duel ?

        • oi dit :

          J’ai une semaine bro.une semaine.

          • Seek my duck dit :

            T’as pas une semaine, t’as une semaine max, et la bienséance voudrait que tu ne prennes pas le délai maximum à la minute près, il s’agit pas de rendre une rédac de philo là, essaye pas de nous enculer comme une prof de lycée on vaut mieux que ça.

          • oi dit :

            Non justement toi et ton équipe ne valez pas mieux que ça. Vous n’êtes rien. compris ?

          • Putricide d'amonium dit :

            Ouais mais en attendant t’as tort oi. Alors tu t’exécute et tu fais pas chier!

          • Deeplake dit :

            oi : T’es vraiment un gros bâtard… Dis plutôt que t’avais une idée de merde (pour changer) et que les autres membres de ton groupe ont pas voulu te laisser poster de la soupe. Ils avaient probablement raison, néanmoins l’horloge tourne et les feuilles du calendrier s’envolent tels des débris humains après Nagazaki, et en parlant de ça, ton cul risque également l’explosion atomique si tu ne postes pas ton dessin à temps. Toi et ton équipe de branques devrons nous déclarer vainqueurs par forfait, ce serait dommage pour ta petite gueule. t’façons tu ferais pas deux jours en prison.

  7. Vlad en avait eu marre de Nijni-Novgorod.

    Il ne pouvait plus en apprécier aucune vue et chaque coin de rue semblaient le maudire d’un ton grisâtre qui ne permettait en aucun moment de souffler. Non seulement son métier de peintre en bâtiment l’achevait chaque jour un peu plus, mais sa famille semblait être aspirée par le lourd brouillard environnant le quartier dans lequel ils pourrissaient. Il croisait chaque jour les mêmes tableaux et les mêmes vieilles rides creuses, témoins d’une décadence infinie dont était victime sa chère Russie. Tout partirait sous la poussière et cela, Vlad en était persuadé.

    Il n’avait pas vécu de drame familial cependant, pas plus qu’il n’avait eu à se plaindre d’autre chose que son boulot maigrement récompensé. Mais comme dans la vase, sa situation s’embourbait et sentait toujours plus mauvaise.

    Vlad n’aime pas que la pourriture lui colle au nez. Vlad était un garçon fier qui savait profiter de ses camarades de classe sans jamais se faire prendre. Il était l’heureux propriétaire d’un père riche et s’en servait continuellement comme excuse pour assouvir ses désirs de puissance. Un jour il obtenait des bonbons gratuitement, l’autre jour il se faisait faire ses devoirs dans les règles, au même titre que s’il avait été une fille. Vlad avait une fois tenté de toucher la poitrine d’une de ses connaissances du collège. Celle-ci avait crié, ce qui avait valu à notre cher enfant, une punition coquette de la part de ses parents.

    Vlad partait sur ses 18 ans et sentait monter en lui le désire de s’émanciper de son bled pourri, décrépi. Il voulait croquer le pouvoir à pleine canine sans avoir à suivre le chemin qui lui avait été décidé par ses pauvres parents n’en pouvant plus de ne pas savoir ce que leur fils voulait au fond de soi. Il prit un sac rempli de vêtement, un bouquin quelconque pensant qu’il aurait à attendre et enfin, il mit 3 quelques gâteaux secs dans sa poche.

    Sa fugue ne fut pas reportée par les médias, aucun avis de recherche ne semblait se profiler. Vlad s’en foutait, il avait enfin compris que tout avait un prix, surtout la pulsion humaine. Il marcha alors des jours pour finir à Omsk. Mort de faim et quelques peu éreinté, il s’effondra devant une pauvre bâtisse qui croulait sous la neige.
    Quand il ouvrit les yeux, il vit sa future femme, il se senti héros sur le moment. Il apercevait le compte de fée et fit un sourire bêta et Vlad s’évanouit pour des années.

    Il était devenu aigri et pensif sans jamais savoir pourquoi. Il ne parlait pas de ses parents et trouvait ses enfants bien moches. Sa femme était conne et elle avait des cernes de rombière à gifle.

    Vlad se réveilla.

    Il prit son manteau et 3 gâteaux secs, puis parti pour la France, le sud de la France, laissant derrière lui 3 cadavres dans une baignoire.

    Vlad partagea quelques gorgées de vin avec un homme inconnu qui ne semblait pas avoir de domicile fixe.

    Il était arrivé, la première chose à laquelle il pensa fut de changer de nom, question d’intégration.

  8. Le Dem dit :

    Belle idée de Oncela (c’est pas souvent).
    LCO : chapeau bas pour le texte. Et surtout pour le « mêmes vieilles rides creuses » bien ténébreux.

    J’arrete de salir. je vais chier.

    • Oncela5eva dit :

      C’est gentil de nous sucer la bite, mais tu veux pas participer aussi 🙂 ?

      Non, non, jdis pas ça pak on est en dêche de participant, mais parce que

      • Putricide d'amonium dit :

        Moi je ne suis jamais très à l’aise pour écrire des histoires. J’attends de voir comment l’histoire évolue…

        • Oncela5eva dit :

          Mon petit putri, on est là pour faire de la merde, putain ! Je veux pas de tes « je suis pas à l’aise » : on va pas se prendre au sérieux, merde.

          Tu peux très bien écrire un petit truc de 200-300 mots, juste pour faire avancer l’histoire, vomir un cou et refiler la main. On te demande même pas de prendre un style ou rien. Du moment qu’on comprend ce que tu raconte et que y a des putes ou de la bagarre, c’est tout bueno. *COUILLES MOLLES*

          • Oncela5eva dit :

            Non mais connard tu t’es bien foutu de ma gueule, tu viens de poster ton putain de vers de terre vol2

            RAAAAAAAAAAWWWW

          • Putricide d'amonium dit :

            Y a merde et merde connard. T’es pas fichu de comprendre ça putain!?
            Faut bien distinguer. Un peu comme pour les nanars dans le cinéma. Y a les mauvais films qu’on peut en rire et les mauvais film justes nul que l’on oublie…

  9. Race de Mort dit :

    Partie amovible :

    La porte se referma derrière John avec un chuintement de caoutchouc. Il se trouvait à l’extrémité d’un couloir matelassé sur toute sa surface de moquette rouge fluo et qui continuait en pente douce vers ce qui semblait déjà être l’infini. Du moins ne l’était-ce qu’en apparence : après une longue marche dans un parfait silence, John remarqua que la pente était brisée par un replat sur lequel l’attendaient une table, une chaise et une silhouette. Il ralentit l’allure de sorte qu’une fois arrivé au niveau de la table et de la chaise il se fut arrêté.

    Voilà pour aujourd’hui, j’en rajouterais bien plus tard, mais plus tard seulement.

  10. Empereur Greroux XII dit :

    je me lance,

    Partie inamovible:

    Maintenant qu’il fut totalement immobilisé. Michel Denisot arriva et mis fin à toutes ses fabulations mesquines. Il tua John. Retrouva Vlad et le tua a son tour.

    Michel était vraiment trop fort pour eux.

    FIN

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C'est bon, les autres verront pas ton mail. Et les * c'est que c'est obligenculé.

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