Les créas persos c'est chiant à faire alors pour nous mettre tous sur un pied d'égalité, je propose que l'internaute aussi prenne un peu de peine pour se divertir. En lisant un texte assez conséquent par exemple.Dans la ville de Lyon il y avait un chenapan surnommé Réglisse parce qu'il se régalait de réglisse tout le temps, tellement qu'il était devenu étonnamment dextre dans l'exécution d'à peu près toutes les manipulations imaginables du réglisse. Il pouvait par exemple réparer un pneu de vélo en caoutchouc, boucher les trous dans les gouttières et intoxiquer les chats qui y vivaient et qui représentaient un véritable fléau. C'était d'ailleurs à cause de ce fléau que la ville était aussi peu fréquentée par les retraités, ces vieux singes dégringolant venus des entreprises fermées. Un jour réglisse se perdit dans les décombres d'un vieux relais météorologique détruit pendant l'intervention de pompiers, venus de lyOn (la ville la plus proche) en mission de sauvetage des victimes de la tornade (qui fit tant de dégâts aux ruches de monsieur Potin, un autre caractère important de la petite cité) et qui avaient été appelés en suppléant de la caserne de Lyon qui jusqu'alors n'avait pas eu le souffle d'existence que nous lui souhaitons sincèrement. Après avoir circulé aléatoirement de longues heures, Réglisse finit par arriver au bord d'une énorme gouttière descendant en pente douce des ruines sombres de l'ancien relais jusqu'à une zone d'où émanait une lumière verte resplendissante ; qu'il reconnu directement comme celle du jardin des plantes de la ville. Réglisse se rendit vite compte cependant qu'il ne pourrait pratiquer ce chemin à pieds. Il allait faire demi tour la tête baissée comme soumise à l'écrasante pression de la responsabilité qu'est mourir proprement dans le noir d'un bâtiment détruit, lorsqu'il chuta sur le sol. Ses pieds qu'il maudissaient quelques instants plus tôt en raison de leur inaptitude à l'usage de la gouttière venaient de prouver qu'ils n'étaient pas si inutiles qu'il le supposait, en s'embarrassant salutairement avec les roues d'un vélo délaissé là. Après examen de ce vélo réglisse se rendit à l'évidence qu'il s'agissait de l'objet salvateur qu'il n'avait jamais espéré. Seul inconvénient étaient les pneus percés qui empêchaient la roue de tourner une fois insérée dans la gouttière. Ce problème toutefois fut vite réglé car il se trouvait que réglisse avait gardé une boite de réglisses en prévision des incidents qu'il aurait pu potentiellement rencontrer si au lieu d'aller se balader dans ce relais il avait été dans une cage de gens méchants comme il avait prévu initialement. Réglisse put ensuite entamer la descente. Après quelques mètres d'un trajet assez rébarbatif, Réglisse évita de justesse de tomber dans un méchant petit trou perforant la gouttière, et qui était l'ouvrage d'un chat armé d'un objet pointu. Une fois encore Réglisse put parer au problème en obstruant de réglisse le trou hostile. Cela lui permit de reprendre sain et sauf son ascension décroissante, non sans oublier de laisser derrière lui des petits bouts de réglisse dans le but de remplir la quête optionnelle "tuer le chat troueur" qui lui permettrait d'obtenir un emplois dans une entreprise du pays de son choix. Arrivé à quelques dizaines de mètres de la sortie des gravats obscures du relais, Réglisse fut stoppé par un chat très antipathique qui lui barrait le route d'un air qui s'il n'était pas menaçant signifiait que réglisse était mort. Le pauvre était d'ailleurs bien près de penser la même chose car il se trouvait totalement dépourvu de ressource face à une telle épreuve. De cette situation très désavantageuse Réglisse finit cependant par tirer avantage grâce à un ingénieux stratagème qu'il ne prépara pas mais qui se fit de lui même dans une chaîne événementielle que nous allons voir. Réglisse persuadé de l'imminence de son décès pédala de telle façon que son vélo gagna un élan considérable. Puis alors que le chat bondissait de la gouttière au vélo, il anticipa l'intention du chat de bondir du vélo à son visage et bondit du vélo à l'herbe du jardin situé à une distance importante qu'il franchit grâce à l'élan donné de bonne grâce par le vélo, qui, déséquilibré, par l'effort que demandait un tel don bascula dans le gouffre ouvert sous la gouttière pour la soirée emportant comme dédommagement le chat qui par ailleurs étaient enchanté par la perspective de tomber et de s'écraser. Réglisse était sauvé, et qui plus est dans un magnifique endroit. Le jardin offrait de multiples coordinations d'éléments naturels dont ressortissait un esthétisme relativement frappant. A cet esthétisme suppléaient d’innombrables installations aquatiques offrant des occasions de divertissements qui certes s'ils étaient humides néanmoins avaient la qualité de ne pas apporter l'inconfort d'une insuffisance thermique. Réglisse périt donc longtemps plus tard et bien moins heureux.
R
ahah j’ai pas lu mange mon foutre
le site est entrain de se casser la gueule.
tout ça à cause d’anarchiste comme vous.
collabos.
l’histoire est bien ficelé, mais je m’attendais a une autre fin.Dommage. 14/20
J’ai tout lu 🙂
J’ai beaucoup aimé la musique
Fayot!
Moi j’ai pris cynisme en option au bac et, de toute évidence, toi non plus tu peux pas test. trololololol
Merci Deeploque pour cette réplique, je te la vole, la saccage et la fait mienne.
Et qu’est ce qui te dit que je n’avais pas compris le sens premier de ta phrase et que je suis entré dans ton jeu hein? Dis hein?
putain comme jté détruit désolé jaime pas faire ça aux gueules de cul dans ton genre dabitude pak jaime pas les cruauté mais la javai besoin détaler ma culture web sur kelkun c tombé sur toit dsl
Quand on veut « détruire », on fait sois même ses montages. Sinon t’es qu’un reposter de seconde zone comme il y en a plein le web.
Mais je ne t’en veux pas hein. Ce n’est pas de ta faute je sais. Mais promis, je ne me moque pas^^
Je suis entièrement d’accord avec toi, mon cher petit putri
Quand on ose ouvrir sa gueule sur le web, ce ne doit être que pour proposer de l’oc de qualité, et pas des blagues forcées juste pour faire semblant d’appartenir à une quelconque communauté.
Mouarf! Bien vu!
C’est presque ça en plus.
A la fin du texte, je me suis demandé quel goût pouvait avoir un cerveau humain.
Nan mais sinon c’est cool, dans le genre écriture automatique où tu te demandes finalement pourquoi tu es ici, quel est ton but dans la vie et finalement à quoi ça sert de servir à quelque chose… Je rapproche ce texte sans aucune hésitation à l’oeuvre de Spinoza, lequel aurait bien aimé ce texte, aucun doute.
T’as dit écriture automatique au hasard ?
Ben non, je parle de l’écriture automatique comme André Breton, Max Ernst, enfin le mouvement surréaliste… J’ai pris « Arts plastiques » en option au lycée quand j’ai passé mon bac : tu peux pas test. Mais même, si j’avais vraiment envie de me la jouer Hipster Arty avec des lunettes sans verres et mon godet de Starbuck’s, j’dirais qu’MPSI est ancré dans le post-Fluxus en tirant une latte d’une clope roulée avec de la sauge et sans tabac.
Le mec qu’assume pas qu’il sait des trucs mdr. Sinon ouais je l’ai écrit en auto sté cool ^^
C’est difficile d’étaler sa culture sans avoir l’air prétentieux ou vachement chiant, donc je préfère casser du Hipster-Arty en même temps, histoire de me donner de la contenance.
Bon, j’suis crevé en fait…
ok t’inquietes pas tout le monde t’aimes bien de toute facon.
ps: Ton tumblr est tres plaisant.
Merci, vous êtes tous super cools, j’vous quiphe.
Pardon, j’aime vraiment ce gif.
haha… HAHA
Nan mais j’ai piscine là…
La musique fait kiffer vieux, envoie lien.
Putain de bordel de merde, je cherchais cet article depuis à peu près 25 jours voire 45 jours pour réécouter cette magnifique musique, ce qui en est de l’histoire, on verra ça après.
Lol c’est trop plaisant de réécouter et de relire mon article préféré, avant je m’appelais Excellence doublée, quel pseudo de pute, et Drap-Housse était drôle, et iie commentait tous les articles, et Deeplake ne postait pas encore et était encore une petite pute (t’es toujours une petite pute).
C’était le bon temps, l’âge d’or de MPSI…
Tu te fatigues jamais toi…