Une histoire incroyable. J'étais dans le métro pour rentrer chez moi, à 3 stations, quand une sorte d'hurluberlu m'a embarqué dans une affaire pas possible.
Bon.
J'monte dans la rame, cherche une place, aucune, prochain arrêt peut-être. Une mamie se lève effectivement, empoigne son sac eastpak noir, pourquoi pas, je m'installe. Jusqu'ici rien d'incroyable, mais ne vous énervez pas on y arrive. Un quidam en dreadlocks joue nerveusement avec un scoubidou. Je le survole du regard comme on balaye une affiche publicitaire : un petit bond des yeux accompagné d'un mouvement lent de la nuque. Mouvement qui envoie se coller mon attention sur une offre de formation en école de truc là pour coder sur les machines, avec deux babtous de beauté relative qui sourient plastiquement. Un détail : le curieux touffu se fige, plus un mouvement de scoubidou.
Le temps de voir deux autres bêtises, il faut quitter la rame. J'amorce de me lever, et hop, à quelques centièmes de seconde en décalage, le chevelu ki n'avait plus bronché se lève d'un coup. La machine s'arrête, les portes s'ouvrent et à peine je m'y engage que cet olibrius me double sans égard, se retourne et lance :
- TU ME CONNAIS PAS !! ...TU M'CONNAIS PAAS ! 。゜(`Д´)゜。
Stupéfaction. Que me veut donc ce zig ?
J'hésite sur quelques pas tandis qu'il s'en va hâtivement en jetant des regards furtifs, furieux dans ma direction (un papier plastique le suit dans son élan, il faut trier ses déchets sinon ils font n'importe quoi).
C'est là que ça s'emballe et j'avoue j'aurais pas dû : je le suis.
Boucles molles continue sa route et assez rapidement semble se préoccuper d'autre chose. Tant mieux, suivant les remous de la foule, nageant sans faire de bruit à contre courant, je sors à sa suite de la galerie et nous voilà en pleine rue. C'était cet après-midi, il faisait pas beau, il faisait froid, c'est bien mars qui nous rappelle que c'est l'hiver ! n_n
Or donc à la queue leu leu on s'enfile deux trois rues. Lui est pressé et comme traqué, il rase les murs, à sa suite mézigue la bonne pomme roule selon les chaos du chemin, comme un fruit lourd qui dévale un talus de verger avec des bruits mous.
Le décor évolue, moins de monde. Alors que la couverture du fruit mûr commence à ne plus me fondre dans le paysage, voilà mon buisson velu qui s'engouffre dans un parking à étage, le genre bien entretenu qui fait crisser les peuneus. Il monte la rampe des voitures qui descendent et je le suis à l'ouïe, parce que pour le coup si y se retourne y a pas moyen qu'il me rate et comme je commence à avoir la gaule à le filer ça me ferait chier qu'il détale comme ça.
Parlant de ça l'adrénaline ça fait un putain d'effet ^o^. C'est con ça, le décor est le même que d'habitude, les sapes et l'emploi du temps tout pareil, mais voilà qu'on stalk un type random dans la rue et déjà on a les poils à nœud qui s’emmêlent et qui commencent à sentir l'huile hihihi.
Bref l’ascension s'arrête et le mouton gris s'engage dans un étage presque vide. Je bondis, le rattrape et me plante en face de lui, à 5 mètres. Le mec a l'air pas plus contrarié qu'avant, c'est-à-dire qu'il fait des plissures avec son nez quand il respire maintenant.
- Pk t'as dit j'sais pas qui j'suis ? ༼ つ ͠° ͟ ͟ʖ ͡° ༽つ
- TU SAIS PAS QUI JE SUIS !!!!! (ʘ言ʘ)
J'me rapproche, le mec est collé au mur de parpaing gris con de camée.
- Mec t'as un problème je t'ai fait quoi ? ⋌༼ •̀ ⌂ •́ ༽⋋
- Je t'ai rien fait, pourquoi tu m'as suivi ? 「(#Φ益 Φo)∩
- Ben j'sais pas t'as pas du feu ? (¬д¬。)
Le mec commençait quand même à sentir mauvais la bête piégée, il serrait les dents ses canines allaient péter. Et là putain il se met à crier en serrant les dents, incroyable, me vrille les tympans !
(Ò 皿 Ó ╬) AAAAAAAAAAAAAHAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA
Ni une ni deux je lui fonce dessus, le renverse sur le sol, il crie mon prénom l'enculé je lui fracasse le chou à coup de patates. Ses grosses dreads rugueuses sentent le patchouli je te jure ça m'a fait quelque chose. Pas trop teubé il arrive à se dégager et me foutre un coup de latte dans le bide je vomis direct (srx comment il a fait ???). Il essaie de se tirer mais j'ravale la glue et lui cours après. J'le rattrape au niveau d'un 4x4 et lui éclate la tête contre le capot, il tombe et son pantalon se défait. Omg je te raconte pas comment j'ai sorti ma teub, je sais même pas la vitesse, c'était de l'ordre du subliminal. À peine je l'encule qu'il se retourne pour me regarder dans les yeux, le pif plein de sang.
Là je t'avoue j'étais mdr : le mec rageait comme une chatte qui se fait péter le niglo au printemps. Y a un mec qu'est arrivé à un moment je crois mais il s'est cassé sans sa caisse. Tu sais ce qu'ils font la sécurité dans ces cas là ? Mouais. Donc on fait bodom bodom quelques minutes puis au bout d'un moment ça vient toujours pas. Forcément ça commence à sentir le bidon l'affaire alors j'lui dis :
- Bon vas-y j'arrive pas, on a qu'à essayer une prochaine fois. (¬▂¬)
Puis après j'ai oublié, on a discuté, le mec a raconté qu'il était parti au Yémen l'an passé pour un délire peace and love mais ça avait pas marché à cause des saoudiens et il était revenu. Après j'lui ai donné le numéro d'une pote morte en lui disant que c'était le mien pour déconner et puis il s'est cassé. Après j'suis rentré et j'ai écrit. Trop chelou quand même ce type, j'sais pas, si t'es stressé dans le métro tu prends un vélo ou le bus.
Oker c t une istoire de merde.
C’est Deeplake le putain de babacoul ?
Attends mec, t’as vu à quoi ressemble Race irl ? Et tu te demande si c’est moi le babacool ? Sérieux, enlève la merde de tes yeux.
Sinon je nie toute affiliation à ce texte, pour plus d’informations veuillez parter à mon avocat Oncela.
On s’en baba les coucouilles
Je traine mon ennui dans les couloirs les plus sombres de ma misérable vie
Je m’entraine à vivre, à survivre dans ce dédale de soucis
Lassitude chevillée au corps, je ne veux plus danser, je ne peux plus bouger
mon être s’enfonce dans les sables mouvants du vice
ma tête s’engonce dans mes épaules, recroquevillé sur moi même, je suis une boule de suie, un rocher de crasse
Je ne sais qu’attendre, une fin, la fin, m’obsède
Avec pour seul compagnie les gargouilles gardiennes de mon infini chagrin
La solitude me ronge, elle me donne à voir de trompeuses chimères
Des apparitions fugaces, des fantômes d’amour et de désir ectoplasmiques qui ne prendront jamais forme dans ce monde
Et j’erre, sur le dos d’un ridicule mulet malade, qui peine à me porter, dans les plaines du désespoir
De temps à autre j’aperçois une autre âme râlante qui se meut dans la lenteur, et de loin je la salue, elle ne me répond pas
De fait je n’ai jamais vécu, incertain de ma propre existence, je ne fais que mourir un peu plus chaque jour
Un ciel sans lune, des dunes informes et des arbres infirmes forment le paysage de ma destinée
Des chiens sans maître ni laisse peuplent ces contrées désolés et mordent le voyageur qui s’approche de trop près
Un vent glacial souffle, son haleine putride empeste des miasmes de la mort
Dans mon dos une épée est accrochée, usée et fatiguée des nombreux combats qu’elle a menée, cette masse de fer émoussée, ne me sers plus qu’à dissuader les quelques bandits damnés que l’on peut croisé sur ces mornes routes qui mènent toute au même endroit
Autour de moi des châteaux en ruine témoignent du faste passé, d’une sérénité ancienne où de grands seigneurs festoyaient et célébraient leur dernières victoires
Aujourd’hui éteinte, l’opulence de ces temps anciens a laissé place à un désert de désespérance
Désormais ici règnent Malheur, Tristesse et Mélancolie, nouveaux souverains d’un Royaume perdu
« gargouilles gardiennes », « mulet malade », « dunes informes et des arbres infirmes », le reste c’est de la merde va te pendre.
« gargouilles gardiennes », « mulet malade », « des dunes informes et des arbres infirmes », le reste c’est de la merde, va te pendre
Franchement race je t’aime bien mais là tu kalah, j’en ai rien à teuber de ton histoire de merde, je m’en tamponne le cul, sincèrement je ne trouve pas cela très intéressant, en même temps je ne suis pas fan de reggae, ceci explique peut être cela, mais tout de même, quand même c’est abusé de comment on s’en bat les couilles de ton truc sérieusement, je veux dire cela t’a peut être marqué mais cela ne veut pas dire pour autant que c’est intéressant bien que cela soit un fait récent.
Bisous quand même, fais plutôt des poèmes, c’est comme ça que je t’aime.
c’est en forgeant qu’on déforme le fer
c’est en mangeant qu’on démoule la merde
c’est en caressant qu’on racole les keh
c’est en oubliant qu’on bonifie les nerfs
à toi
très profond merci
Moi je suis toujours content quand quelqu’un critique race, je me dis quand même que je ne suis pas fou et que Race c’est vraiment le plus gros connard de l’internet.
c stylé komem
Un jour de métro pluvieux, je monte dans la canne à sucre, voilà ti pas qu’un gus armé jusqu’aux dents, d’une brosse à dent notamment, me regarde de travers, ni une ni deux une baston de regard s’engage sur la file de droite, je lui fais les gros yeux, il me fait les yeux doux, mais doux tu me regardes toi ! Lui criai-je, l’éclat cristallin de ma voix le fait se jeter sur les voies, indubitablement je vole à sa rescousse, mais trop tard, nous sommes tous les deux aplatis par la rame qui arrive en sens inverse, c’était la ligne 13 je crois, nous voilà réduit à l’état de carpaccio.
Nous nous reveillons dans une pièce sans fenêtre mais avec une chaise, je comprends tout de suite où nous sommes.
Lui en revanche semble ne pas le savoir, il a l’air inquiet et perturbé, il me demande son chemin, je ne lui réponds pas car il pue vraiment de la bouche, l’odeur s’apparente à un mélange de vomi de chèvre, de gorgonzola périmé et de chiasse de bébé.
Je me crache dans le mains, les frotte et me jette sur mon adversaire, un houraken suivi d’une batista bomb suffise à le mettre K.O. pour un bon bout de temps. J’en profite pour aller dans la cuisine me préparer un sandwich.
Là je commence à en avoir marre, je décide donc de me suicider, je défait mes lacets et tente de me pendre avec, la chaise me sera d’une grande aide mais c’est malheureusement un échec cuisant. Je fais donc le choix de m’inscrire dans un club de foot, mais très vite j’en ai marre, je tue l’entraineur à grands coups de sandwich, il meure des suites de ses blessures, les obsèques auront lieu au McDonald.
Dès lors ma vie ne serait plus jamais pareil, je deviens professeur de lettres modernes, tous les jours j’encule la gardienne, dès lors ma vie sera toujours la même.
La faim m’oppresse, je me fait donc un sandwich, je monte dans l’auto et me dirige vers la mer, là bas au moins il y a moins de pingouins, on est plus tranquille en somme, je ne supporte pas les pingouins avec leur air supérieur, pour qui se prennent ils ? Je vous le demande.
Au marché, la poissonnière me suce, le poissonnier voit ça d’un mauvais œil, il désire ma mort, sort une carabine et me tue, dès lors je meurs, s’en suit un court passage au purgatoire puis aux toilettes, j’ai très mal au ventre, c’est un cancer je crois.
Je finis finalement dans les enfers où je suis obligé de faire la vaisselle pour l’éternité.
Arrête le café frère c’est pas bon pour toi.
Pour une fois que j’aavais besoin de parler vous êtyes nul part, bande de rien du tout
On est là, on est juste tapis dans l’ombre, suffit que tu appuie sur le bon bouton et on déboule, fin en tout cas moi chui là
J’aimais bien Nova, il partagait mes névroses, vous êtes tous méchants, plus que les enfants
Si je savais comment mettre une image je vous aurais montré ma bite
Et vous aurez adorer la voir, car elle est belle, comme notre dame
Je vous aurez montré ses détails, ses veines, ses rides, ses faiblesses
PARCE QUE LA BITE EST UNE FAIBLESSE
Même plus moyen de communiquer quelque part, vous craoignez du cul putain
Et les autres ils écrivent des grand textes, les grans texte c’est pour les pd
c’est vraiment pour les gros pd
Poiur se justifier de sucer des grosses bites d’arabes
JE VOUS BAISE SALOPES
Vous êtes pas drôles, vous êtes pas drôle, vous me laissez tout seul
Je vous baises pas en plus, je suis gentil
Gentil comme tout
J’allais écrire un texte super attandrissent mais j’ai tout éffacé, vous êtes trop nul pour le lire
En tout cas je souffre, d’un manque de mélancolie, on s’enmerde pas mal finalement même bourré, on s’enmerde. Ca manque de steppes désertiques, de montagnes immmenses, de toutes choses qui remplace la vie par le romantisme, on fini par aimer les autres par dépis. J’aimais vos choses, j’aimais routier putain, la vieillesse ça fait mal, ça fatigue le coeur et prend notre temps. J’espère que veux qui avaient des copines les ont quittées, j’éspère que vous vous apprétez a vivre seul. J’espere que vous existez putain, vous êtes trop nul pour le contraire.
Je pense à mon père parfois, je pense à sa futur mort, disperser les cendres, je pense a vos enfants, à ceux que j’aurais pas, j’ai jamais imaginé que vous étiez des gens, des vrais, vous êtes des astres, cintillants comme des diamands dans le de la merde, votre carne vérolée par le reste.
Je suis content de Dona, elle est belle, savoureuse, comme une flamby
Vazi mon con, crache tout ce que t’as sur le cœur, libère toi de tes frustrations, je suis là pour t’écouter, instaurons un dialogue construit, cela te soulagera certainement je suis à ton écoute raconte moi ta vie, tes hauts tes bas, chui là pour ça, fais toi plaiz
Mais sinon j’aimerais faire les fins de marché
Genre je récolte les endives
Et d’autres légumes aussi
Genre des endives
Avec leur racine
Comme les carottes
Les tubercules
jui là t’inquietes pas ca ira mieux biso dona on t’aime aussi, peutetetetetetre que certains gens cherchent des stages chez benoit hamon ca pourrait expliquer certaines absences.
Je me disais aussi… T’aurais pas un doliprane ?
oer y parai ke diplek a pris sa carte au ps
Je vais vomir
Moi, Dplk, démens formellement ces accusations. J’ai la flemme de vérifier mais je suis sûr qu’il y a que cet enculé de Race pour vouloir propager de telles calomnies, mais c’est la dernière fois que ça arrive.
Je vais te tuer race, physiquement. Je vais serrer ton cou jusqu’à ce que tu ne respires plus et pisser sur ton cadavre.
tu vas voter pour benoit hamon ?
La mode c’est de voter Méluche mec, t’as toujours rien pigé…
mdr le mec vient de trahir sa timeline facebouk
jcroyais qu’on parlait pas politique sur mpsi, ça nuit gravement à l’image du site qui est déjà plus qu’en déclin (surtout pour les propos que vous tenez qui sont d’un intérêt aussi grand que la bite d’un poney nain, je vous demanderai par la suite d’arrêter toute forme de revendication politique, on s’en bat les couilles à la mayonnaise de savoir pour qui vous allez votez. Ici c’est caca, pipi, vomi, poulpe dans chatte de japonaises et tentative de lol le tout sur un fond de ghetto poésie bercé par une mélancolie douce mais profonde.
Par avance merci
Mes salutations distinguées
Bonne journée et à bientôt.
Il suffit a raison
oé on essaie mais c dificile avec deeplek ki rate pa une ocasion de nou rapeler kil est de goche
cho
froua
Vous voulez que je vous parle du boloss qui a essayé de faire croire au peuple français que je lui avais sucé la teub?
Non? alors tu te calme.
J’estime qu’il est fondamentalement nécessaire d’affirmer que nos existences prennent racine dans un vide d’une profondeur abyssale.
Passé cette affirmation nauséeuse, il convient d’établir un fait : nous FLOTTONS. La vie est une absence de gravité. Tout être vivant n’a conscience de ce vide. En effet, nos structures psychologiques s’évertuent à reconstruire une pesanteur, des ancrages. Et gare à celui qui parvint à contempler sous ses racines : le vide qui lui tourne le dos.
J’estime qu’il est fromage mentalement et nez cessaire d’affiner que nos exils dansent perdent racine dans un bide d’un gros frotteur d’habits sales.
Passé composé cette infirmation Molenbeek, il convention d’aplatir un fait : nous FLOCONS. La vie de ma mère est une absence de granité. Tout être vivant n’a consistance de ce ride. En effet, nos pustules chromosomiques s’ébleutuent à redondir une pesetas, des anchois. Et garage à vélo à celui qui parvint rosé à complenter sous ses Rachid : le vide qui luit tournesol.
pas mal Molenbeek
C’est plutôt bien dit même si j’ai pas tout compris, je ne dirai qu’une chose : si nous flottons, il flotte, s’il flotte, il pleut, s’il pleut tait.
faut grandir maintenant svp
mec on fé ke ca se grandir nik ta race tu té pris pour notre maman ? C koi ton ton la genre ta dé truc a nous apprendre nanani nanana sérieux nik bi1 ta reum espece de gropd en rut qui traine souvent dans les bois de paris avec un peit tournevis et un exemplaire du magazine chasse et pêche, toujours a l’affut d’un client a qui t’aimerais bien pomper sa sale bite avec des morceaux jaunes collés tout autour du gland et avalant un sperme bien rance et opaque qui a trainé quelques mois dans des couiles de vieux taulard alcoolique qui a alzeihemer et que l’etat ne veut pas prendre en charge parce qu’il a un casier après avoir été reconnu coupable d’exhibition alors qu’il était simplement dnas les bains à bulles de la piscine publique et que son calecon flottait et qu’on voyait ses paires de couilles de temps en temps et donc la sécurité est intervenue en prévenant les keufs alors que le gars il était genre vraiment pas au courant mais ça lui a pourri la vie il a du avoir un suivi psychologique de 3 ans mais il oublie un peu tout ça quand il s’imagine que tes dents feraient quand même un très joli collier pour sa bite.
jté cassé
i’m blue nanani nanana nanani nanana…
en vrai c’est da ba dee da ba daa / Da ba dee da ba daa mais bon c’est pas grave
ta gueule pédé
Si t’es la vrai Georges passe plus souvent stp, on se fait grave chier ici c’est la merde noire
Si t’es un fake fuck ta face de falsh made in pakistan
Voici venuuuuuu
le temmmmmmmps
des rires et des chants !
sur l’ile aux enfannnnnts
c’est tous les jours le printempppps
c’est le payyyyyys
JOYEUUUUUX
des enfants heureuuuuux
des monstres gentils
oui c’est un paradis
Qu’est ce que tu fais là toi ?
Va bien niquer tout tes morts enfant du démon, jte gloubi boulgate l’anus enfoirasse
Les gargouilles rodent dans l’oubli, déambulent dans les rues vides de la ville à la tombée de la nuit, elles errent, vagabondent, possédées par une force obscure impalpable, elles nagent et volent, les rares badauds qui croisent leur regards noirs s’enlise instantanément; s’enfoncent, sombrent, tombent, chutent se pétrifient de terreur et deviennent à jamais statues éternelles.
A ces terreurs nocturnes,un couvre feu est décidé, mais les plus vulnérables pris de panique opte souvent pour le suicide: chaise et corde, rails, intoxication au gaz d’échappement…etc.
Ces gargouilles ne sont qu’une matérialisation physique des vices et péchés que l’homme seul a réussi à développer à un haut niveau : l’ennui, l’oisiveté, l’inactivité…etc.
Dormir en attendant la mort, dormir, mourir, fantasme; rêver, cauchemar, hallucinations, tituber, absence, cathédrale de peine, paradis artificiels, drogue, morgue, chambre mortuaire, cimetière, tombe, cercueil, stèle, fleurs, danse, nuit, sombre, obscurité, pénombre, ténèbres, noir, sorcières, monstres, apparitions, fantômes, agoniser, l’heure du départ, morgue, corbillard, château abandonné, désaffecté, cœur, froid, iceberg, glaçons, glace, lac gelé, forêt dense, chapelle délaissée, glock, kalash, pompe, grenade, lance roquettes, barrières infranchissables, barreau, solitude, peine, tristesse, frustration, crache, bave, haine, rage, rancœur, irritable, à fleur de peau, uzi, bombardement; fumer ses excréments, voler au dessus des nuages, nager dans une piscine de merde, cracher du sang, saigner de l’anus,vomir son propre être, fleurir une tombe, ne parler qu’avec son chat, tuer des mouches , accident de deltaplane, train sans frein, le ballet des feux de signalisation , overdose, fumer sa vie, la finir dans un placard, coucher de soleil au bord d’une falaise, roue arrière en cbr, respecter le code la route, manger des makhrout, sur l’autoroute de la vie, fumer une pipe sur le toit de la voiture, s’ouvrir les veines à l’aide d’un ciseau à bout ronds
zarma c’est censé coller avec le texte ou c’est comment ? Ca veut dire genre celui la qui la écrit le texte y va dans des champs pour danser comme un connard en mangeant des pilules sur de la musique de merde ou bien quoi ? Non parce que je le connais personnellement et jcroi pas que ce soit ce genre d’individu.
I m blue dinvudi dinvidu dindividu davidu….
marre de ses gens ki kroient déternir LA vérité alors que c’est subjectif >_<
je vous baise la chate à vo darone
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Tu baises R gros
bruvvv vruuvuruv frrrr
T’es comme le frère que je n’ai jamais eu : le gosse indésiré de mes parents. Tu n’as pas ta place dans cette dimension. Stp, dégage.
Et toi tu t’en vas stp
TG à jamais
C’est quoi vraiment votre problème ? 🙂
j’fais du vélo sur mon piano gros j’fais du piano sur mon vélo
j’fais un malaise dans le métro gros dans le malaise j’fais un métro
je mange des pâtes au nutella gros au pâtes je mange des nutella
j’fais mon numéro dans le cirque gros dans le numéro j’fais mon cirque
je deviens gros gros gros je deviens
je pue des pieds gros des pue je pieds
j’crame mon dimanche gros mon crame j’dimanche
j’calme mes souffrances gros mes souffrances j’calme
tu pues la merde gros la merde tu pues
tu manges les miettes gros les miettes tu manges
tu nages dans l’huile gros dans l’huile tu nages
je me pends au plafond gros au plafond je me pends
Valise vide
J’valide bide
J’m’alite vite
J’habite l’île
J’aligne cibles
Salle de bain
Grosse catin
Paire de seins
Frotte l’engin
Son gosse pas l’mien
Gros mensonge
Trop d’éponges
Stop les pompes
J’truque les comptes
J’tronque le truc
J’m’ennuie j’m’ennuie j’m’ennuie
J’m’enfuis j’m’enfuis j’m’enfuis
ensuite ensuite ensuite
J’m’enduis j’m’enduis j’m’enduis
J’m’enlise j’m’enlise j’m’enlise
j’m’en veux j’m’en veux j’m’en veux
j’envie j’envie j’envie
les gens
j’m’empiffre j’m’empiffre j’m’empiffre
d’argent
j’empire j’empire j’empire
doucement
j’m’en fiche j’m’en fiche j’m’en fiche
gravement
c’est pire c’est pire c’est pire
qu’avant
ça me soule ça me soule ça me soule
gavant
ça roule ça roule ça roule
grave lent
j’m’ennuie j’m’ennuie j’m’ennuie
j’attends
pas bon pas bon pas bon
ça sent
l’avion l’avion l’avion
descend
pin pon pin pon pin pon
j’descends
ah bon pardon mais non
j’ressens
le mal la haine le seum
pas récent
intéressant
aspect stressant
après treize ans
apte et présent
jacte et pressent
Ma chute
Ohaï !
🙂
elle m’enlace mais m’enserre,
j’attend impassible sa haine après son amour,
les premières gouttes viennent sous le soleil,
il est aujourd’hui glacial,
Ses rayons refroidissent l’air,
La purification gelée au printemps renaît,
celle de mon âme à pourrie tout l’hiver,
ils nettoient mais polluent,
ils travaillent mais chôment,
ils rient mes pleures,
Ce que j’aime chez MPSI c’est sa pizza quatre fromages cuite au feu de bois pour seulement 3,75€.
y a une recette pour moins cher dans les articl de race de porc stuveu
kan t peti tu te brule ou tu te pik et ça te fait pleurer. ou enkor kelkun arrive et il te fout une claque et après tu pleures. et puis à force tarrete de pleurer tu appren ke ton papa ta maman ou ton éduc spé va pa tjr te faire justice. paske t sensé te debrouiller tou seul. donc ut tabitues, t’as mal mais sa te semble plus oci injuste en meme temps t kon pk ta regardé ce type de traver ? jemrai bien plu chialer kan cette pute me laice béton. ta apris ou kon te devait amour et fidelite ? a la base c juste ta bouffe ou a la rigueur ta keue ki on fait le deal. sans doute un boukin de merde pour aprendre o bonsommes à pas sentre tuer ta fait croire quil y avait kelke choz deternel dans les bons sentiments. eternel oer, tant kil yora des zumains. kom la haine et les cailloux en forme de keur kon jette par accident sur les infideles. svt des meufs dailleures. patriarcat oblij. mai sa fai komeme mal au debut. et puis sans doute les autres fois oci mais on sabittue. apres les istoires de la con et du baton c les enfants kon pond. normalement ils meurent pas oci rapidement ke les promesses, ou alors c kon la voulu et ils avaient pas enkor 3 mois. tappren enkor a etre seul. machin disait kon creve tjr seul et wallah c bien vrai. tapren petit a petit a etre seul, tjr plus abandoné et a la fin, si t pret, sa fait moins mal. pleins de petits abandons pour paver ta route ver rien, et toi oci tu abandonnes. tu donnes des piece a la syrienne a koté du carfour et puis un jour tarrete, tu regarde un peu plus haut vers lorizon. tu donne a wwf pr kils construisent des pandas indépendan et pi un jour tarete, tu regardes un peu plu loin ou investir. tu tiens tes promeces avec ton pote de kan t t petit : oe on se revera, et puis a un moment doné tu regardes plus large pour ki sa vaut le cou de se deplacer. le pensement a lego c les excuses. y en a ki les pondent facilement, ceux là sont bénis, une sorte de sisteme imunitaire plu développé ke le tien pour éradiker les movai sentiment. des macrophaj condescendants, des plakettes d’auto apitoiment. la bleçure est refermée : tu n’es pas méchant. dotres c moins cool mai bon y a pa enkor de pension pour ce jor dandicapé, ya komeme plu grav ke les maladies psy des petits privilégiés du nord du monde.