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Salut, c'est Nova, le mec de la dédicace de Pitro. Voila j'ai écrit un texte, j'espère que tu vas kiffer, ça parle d'une histoire qu'est arrivé à un pote à moi alors voila c'est chaud car je devrais pas le raconter mais ici c'est pas pareil.

HF

Ses yeux ne sont pas ceux d’une mère, mais d’un chat, d’une chatte, qui a trouvé une souris.

Une bestiole qu’elle lèche, met dans sa bouche et ressort en laissant couler un filet de bave du bout de sa langue jusqu’à l’animal.

Il n’y pas ce regard d’innocence bienveillante habituel dans ses yeux, la lubricité de son regard lui donne un air affamé, qui en veut plus, mais qui est déjà à fond.

Les muscles de sa bouche commencent à être douloureux, mais l’odeur du sperme emplissant ses narines lui fait un peu oublier cette douleur, car ses joues sont couvertes de ce jus blanc transparent.

Elle n’arrêtait pas de faire des pauses pour calmer ses souffrances en cognant le sceptre sur ses joues et son nez, l’ayant même posé sur l’arête de son nez, tout en léchant les parties de son fils.

Les lunettes de corrections qu’elle portait était de travers du aux chocs du sexe sur ses joues, et une gouttelette de foutre était même resté accroché sur une branche de ces lunettes.

Au rythme incessants des va et viens buccaux, l’organe grossissait dans sa bouche l’obligeant à toujours plus ouvrir sa mâchoire pour réceptionner l’engin, ce qui faisait tirer ses muscles toujours plus et attisant la douleur.

Il est chaud, il est dur, et doux. Il est en elle et des larmes commencent à couler de ses yeux.

Elle n’en peut plus mais elle n’a plus l’esprit clair et se sent obligé de le faire pour son fils, s’il était déçu il pourrait dévoiler ce qu’il se passe sur ce carrelage de cuisine.

Les larmes commencent à tomber sur le sol déjà souillé par une petite flaque de bave et de souffre, elle commence à gémir mais c’est bien trop tard. Elle a les mains posés sur le sol et ses yeux commencent à se révulse, mais l’enfant a pris goût à ça et ne peut pas se résoudre à ce que tout s’arrête.

Les gémissements de la mère sont régulièrement stoppés par les coups abrupts du sexe dans sa bouche. Elle a beau essayer de retirer sa tête pour tousser ou même vomir, mais il lui tient fermement les cheveux des deux mains, comme des hanches qu’il tiendrait en levrette.

Des relens  de vomit commencent à venir sans que le fils entende, criant de plus en plus fort, accélérant le rythme sans conscience du mal qu’il fait à sa propre mère.

Le moment final arrive, la jouissance du jeune homme éclabousse tout l’intérieur de la bouche de la quarantenaire, recrachant tout d’une seule gerbe sur les mollets de l’enfant.

Offusqué celui-ci met un coup de genou dans le nez de sa mère toussotante, lui brisant le nez, et la jetant en arrière sur la porte du frigérateur.

Alors qu’il part en courant dans sa chambre, il laisse sa créatrice agonisant sur le sol, dans une mare de sang, de foutre, rejoint par les convulsions vomitives d’une femme évanouie.