J’ai croisé Alix au boulot, je me rappel elle venait toujours commander au bar pour elle et ses copines. J’ai dû leur servir plus d’une vingtaine de mojito tout au long de la soirée.
Elle avait un beau visage mais dans le brouhaha et la cohue de la file d’attente je n’avais jamais pu la voir entière.
C’est à la débauche que je l’ai vu elle et ses copines encore devants le bar alors que je rangeai les tables et chaises d’extérieures, je lui avais souri, jamais désespéré le garçon, et elle m’avait répondu par un regard insistant, sirotant son dernier mojito dans son gobelet en plastique. Je ne sais pas si c’est de l’avoir vue entouré de ses bonasses de copines ou si c’est elle mais j’ai eu une trique en voyant le tableau de ces jeunes femmes toutes proportionnées pour le sexe anal et les branlettes espagnoles.
En tout cas elle était supérieur au lot de ses copines, peut être les talons beiges lui font des jambes de fou et un boule à faire une zik genre nabi-nabilla.
Elle s’était dirigée vers moi toute seule, et avait commencé à me parler du bar dans lequel je bosse, elle rigolait beaucoup, puis m’a finalement proposé de les rejoindre finir la soirée chez des amis à elle. C’était attrayant, je n’ai pas pu refuser, puis les collègues ne m’en voudront pas de les laisser faire la caisse ce soir.
Me voilà à marcher dans les rues entouré de biatchs aussi bonnes de fesses que de face, Alix me prend le bras, quartier chic, jupe courte, tu sais ce qu’on veut.
Grande porte en bois, belle pierre, escalier propre, premier étage, deuxième étage. Soirée.
Heureusement qu’il y a ces meufs pour m’accompagner sinon mon tee shirt funky monkey ne me laisserai pas rentrer. Que des jeunes gosses de riches biens zappés buvant leurs champagnes. Du champagne ? J’ai envie de foutre du LMFAO attention.
Alix m’a ramené une coupe de champagne et me propose de m’asseoir dans un canapé libre.
« C’est pas trop ton genre ce soirée ? »
« Non pas vraiment, je dois être plus habitué au bar, les pintes etc tu sais »
« T’a qu’à t’occuper de moi. »
Ok, donc là elle me chauffe. Je dis si si la famille. Je pourrai enfanter sa merde tellement elle est bonne, ses boucles blondes me font penser à une gonzesse de clip ricain où elle joue de la guitare sur une plage déserte.
S’entame une longue conversation avec Alix, à délirer sur les musiques que les jeunes riches passent, j’imaginai déjà Gontrand mettre TTC – Dans le club et qu’Alix commence à danser pour moi, restant dans le canapé avec ma coupe de champagne.
Trois heures, quatre heures, cinq heures.. J’la sens bien Alix, même si elle est bonne, j’sens que j’pourrai tomber amoureux d’une meuf comme ça.
La soirée se termine, la moitié des copines d’Alix sont assis sur les genoux de gosses de ministres et le reste sont trop saoules pour comprendre qui leurs pilonnera l’anus ce soir.
Alix a ses jambes sur moi et la tête sur mes épaules, j’avoue qu’un joint ne serait pas de refus, mais finir une bouteille de champagne serait plus fun, mais faut que je dégage Alix qu’est sur moi.
Je commence à bouger doucement pour ne pas brusquer ma Jessica Simpson. Mais de suite elle réagit :
« Tu rentres ? »
« Euh non j’allais me servir un verre »
« Tu veux pas qu’on aille se coucher plutôt ? »
« Euh beh si y a un lit ici ? »
« Oui je vais voir si personne dort la bas et tu me rejoins ? »
« Ok »
Alors qu’Alix se lève pour se diriger vers la chambre, mes yeux cherchent la bouteille de champagne la plus remplie et la moins loin, ça y est, elle ne me voit plus, GO !
J’arrive à enquiller un quart de teille de champ avant de chercher dans quelle chambre Alix se cache.
Pour le scenario on va dire que je trouve la chambre du premier coup.
Ambiance tamisé, grande chambre, tiens un imac, tiens une petasse blonde qui attend de se faire troncher.
« Déjà nue ? »
« Vérifie toi-même. »
D’accord, tous mes auditeurs me disent de me déshabiller et foncer. J’enlève tout sauf mon caleçon, j’adore sentir les mains d’une fille caresser ma bite par-dessus mon calecon.
Je me glisse sous les draps et commencer à poser mes doigts sur Alix.
« Carrément nue ? »
« Peut-être même partout. »
Mmmh, ok boobs a l’air, en bas, ok elle n’a rien, bon je vais pas me faire chier, je lui roule une pelle et je lui caresse le clito. Elle attendait rien d’autre vue sa réaction elle commence déjà à se dandiner sous mes doigts. Et dire que cette bouche dans laquelle je fourre ma langue va recevoir mon foutre dans moins d’un quart d’heure, bon, une demi-heure, après tout cette meuf je la kiff bien.
Elle commence à bien mouiller, j’ai même pas envie de m’attarder sur ses seins, je préfère les voir rebondir quand elle s’agitera sur ma bite tout a l’heure.
La voilà qu’elle bouge et se met à l’ envers, un 69 maintenant, ouai mais vas-y avec le champagne je suis pas sûr de vouloir bouffer une chatte de suite, puis je vais encore en avoir pleins sur la gueule.
Alix m’arrache mon caleçon tout en foutant son con a deux centimètres de mon nez, après tout, c’est ça la vie, alors dans ma tête je fais passer du Tekitek dans ma tête et me met dans la peau d’un bouffeur de chatte.
Il n’a pas fallu tarder avant qu’Alix prenne mon sexe dans sa bouche et moi foute le nez dans sa chneck, ça m’occupait quand Alix s’amusait à masser mes boules en même temps qu’elle léchait la base de ma bite. Si Dieu existe, et si c’était possible j’aimerai que cette fille me suce dans tous les endroits possible, et surtout dans une église à 9heure du mat un dimanche.
La voilà qu’elle rebouge, putain mais cette gonzesse va jamais me laisser prendre des décisions ?
Et elle enfourche mon sexe sans que je le demande, mais quelle honte, ou va le monde, bon, putain j’ai les cuisses pleins de sa mouille, elle est à fond celle-là, ça doit être le cocktail mojito champagne.
Mmmmh ce que c’est bon, sa chatte qu’aspire ma bite comme ça, sa langue fourré dans ma bouche, ses seins qui tombent et retombent sur mon torse, elle donne tout ce qu’elle a et j’aime ca, j’aime trop ça, faut au moins que je tienne deux trois positions en plus. Je la laisse encore me limer un peu et je prends le dessus, celle-là je vais te la passer au shaker.
Je suis déjà obligé de penser à la chatte de ma grand-mère pour ne pas jouir, ou alors les derniers dialogues de GTA 5, ou le nombre de chaises qu’on a au bar. Allez je calme le truc et la retourne.
« Maintenant c’est moi qui fait »
« Fait ce que tu veux alors. »
Après j’ai pas envie de baiser une poupée japonaise, mais si ça me permet de lui faire kiffer un peu plus.
Le rythme se calme et les cris d’Alix sont moins forts mais plus gémissants, comme une chatte de gouttière, son vagin commence a devenir chaud, la fraicheur du début n’est plus la et c’est pas plus mal car cette sensation était vraiment agréable, comme s’amuser avec un caddie sur un parking de supermarché le dimanche.
Je sais pas ce qu’est le plus humide, nos entrejambes ou nos tronches après qu’on se soit léché la tronche comme deux chiens homos, mais faut que je la fasse jouir au moins une fois.
Bonjour madame, c’est pour la levrette, je la retourne, finalement la baise c’est juste comme préparer des crêpes.
Je lui tire les cheveux, lui tiens les hanches, lui fout la tête dans l’oreiller, elle remet à gueuler comme une truie et moi je peux pas m’empêcher de pousser des râles de fumeur de fumeur de 60ans, je vais jouir, je vais sacrément jouir en elle d’ailleurs.
« Vas y ! »
« Ta gueule ! »
C’est vrai quoi je vais jouir mais je veux jouir comme je veux.
« Mais j’en peux plus .. »
Alix, la fille du bar, qui me demande d’arrêter de la baiser car elle en peut plus ? Il ne m’en fallu pas plus pour lâcher mon foutre en elle, me rappelant brièvement que je voulais jouir dans sa bouche.
Putain que ça fait du bien, meilleur que pisser ou même chier. Et ma partenaire n’a pas l’air mal non plus.
« Tu veux une clope ? »
« J’veux bien oui. »
Retournons chercher une clope et boire un peu de champagne avec l’entrejambe pleine de merdes avant de remettre le couvert. Et cette fois ci je jouirai dans sa bouche.
IRL?
Excitant.
J’ai envie de baiser.
Putain c’est génial. Continue comme ça.
Il y a des tournures fun, mais on a vraiment l’impression de lire de l’érotisme mou pour fan de Beigbeder. Il nous faut plus de perversion, de tabou, et de cracra.
Je suis ta prof de lettre et je commente ta rédaction ; pète moi le cul mon loulou.
Samedi soir, soirée, bourré, niqué une meuf, bonne. Cool. La rappeler.
T’écris super mal, on dirait un mélange entre Bukowski et Bret Easton Ellis mais version analphabète. Par contre j’ai eu grave la trique en te lisant.
Continue. Merci.