Archives de l’auteur : Race de mort

Il y a longtemps de cela, un auteur d'articles de ce site, le plus prolifique des plus prolifiques, avait eu la brillante idée de vous faire le partage, amis, d'une piste audio dont nous devions le génie à Nujabes, que Dieu l'ait en sa sainte garde. La vie suivant son cours paisiblement suite à cet article, ce n'est que quelques minutes plus tôt, au hasard d'un périple acoustique empruntant les chemins bénis de youtube, après quelques détours dans cette région éclaboussante de beauté mélodique, que j'ai goûté au plaisir d'avoir les oreilles charmées par la mélodie délicate du piano de Dj Okawari, un contemporain de l'inestimable sus-mentionné. Mais écoutes donc mon frère les accords purs, les harmoniques sybillines criante pourtant d'une si douce simplicité.

A toi lecteur débile et à toi suiveur attardé, à vous internautes indignes dont nous ne saurions parler plus longtemps, NON ne prenez pas la mouche elle sort d'un cadavre (j'assume). A VOUS, donc, étant parfaitement conscient de vous rendre un service dont jamais vous ne fûtes honorés dans vos poubelles, nous avons décidé, au risque de déplaire aux quelques clampins désœuvrés qui auraient pu être piqués de curiosité après le visionnage des trois courts films expérimentaux précédemment  présentés par ce D mystérieux et qui déjà auraient visionné cette petite œuvre (respire un coup la phrase est longue et ton cerveau petit), d'offrir à vos déserts de platitude encéphalique les reliefs artistiques d'une œuvre cinématographique du haut desquels vous ne pourrez que respirer mieux l'air pur de la beauté et de la culture avec un gros cul.

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Si tu n'es pas chirophobe, tu peux cliquer sur LOL sans pavorem.

Dans le vieux parc solitaire et glacé,

Deux formes sont tout à l'heure passé.

Leurs yeux sont morts et leurs lèvres sont molles,

Et l'on entend à peine leurs paroles.

Dans le vieux parc solitaire et glacé,

Deux spectres ont évoqué le passé.

- Te souvient-il de notre extase ancienne ?

- Pourquoi voulez-vous donc qu'il m'en souvienne ?

- Ton cœur bat-il toujours à mon seul nom ?

Toujours vois-tu mon âme en rêve ? - Non.

- Ah ! Les beaux jours de bonheur indicible.

Où nous joignions nos bouches ! - Impossible.

- Qu'il était bleu, le ciel, et grand, l'espoir !

- Ferme ta gueule, je ne baise pas les noirs.

Tels ils marcahient dans les avoines folles,

Et la nuit seule entendit leurs paroles.

Par les soirs bleus d'été, j'irai dans les sentiers,

Picoté par les blés, fouler l'herbe menue :

Rêveur, je sentirai la fraîcheur de tes pieds.

Je laisserais mon gland baigner dedans ton cul.

Je ne parlerai pas, je ne penserai rien :

Mais l'amour infini me montera dans l'âme

Et j'irais loin, bien loin, brisant ton arrière train,

Par la Nature- heureux comme avecque ta femme.

Reinmoche, Peaux&cie, 1868-1870.

- Allons épouser les filles, mon cadet !
Ils les épousèrent et les possédèrent. Cadet consomma la sienne, et il en eu mal à l'estomac pour le reste de la nuit. Jute à l'aube, l'aîné vint le questionner :
- Que t'est-il arrivé, mon cadet ?
- Je l'ai consommée, mon épouse !
Et après :
- Je ne l'ai pas baisée moi-même ! Avec ma flèche à oiseaux, je l'ai baisée !