Barbarie LCD (vlv)

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On ne quittait plus nos téléphones. Les yeux : cernés et grands ouverts devant des tableaux brillants. Dans chaque rame de métro moins de livres et plus de lumières bleues. Nous nous évaporions peu à peu d'un monde pour en investir un autre. Qu'avait t-il de plus ce monde là ? Il permettait nous le croyions d'augmenter la vie, d'en augmenter l’intensité. Nous étions autre sur les réseaux, il y avait la possibilité  de se recréer, de créer. On pouvait évoluer dans un espace où l'imaginaire prenait forme. Ce monde-ci, avait d'autre spécificités : En effet,  de part l'anonymat et la distance,  les conventions sociales s'y transformèrent. On pouvait insulter et haïr sans recul, comme l'on pouvait aimer et adorer sans voir. Tout était permis, les codes furent bouleversés, la civilisation des mœurs d'Elias enterrée.  L'instantanéité nous forçait a être percutants et brefs. Le langage même, miroir du monde social s'en trouvait changé. Les smileys furent utilisés en masse car ils permettaient de dire très vite. Cependant ces smileys disposait d'un incroyable défaut : ils uniformisaient nos sentiments, causaient l’éviction des mots. Ainsi, les tristesses, les joies et les haines jadis uniques et précieuses devinrent conventionnelles, superficielles.  Internet permettait une globalisation de l'humanité, seule la barrière de la langue subsistait. Internet condensait nos âmes vaporeuses et dévergondées.  Mais peu à peu en faisait quelque chose de vaguement uniforme.

Jusqu'au jour ou est apparu la télévision. Ce fut lors d'un dimanche de printemps aux alentours de 15h30. Nous vîmes apparaître un homme nommé "Michel Drucker" il était assis sur un divan rouge avec a ses pieds un dalmatien. Chacun compris ce jour là que plus rien ne pourrait être comme avant.

Dans THE INTERNET. Là t'as le permalien.

11 coms pour Barbarie LCD (vlv)

  1. porcassou dit :

    c’est pas ouf mais jtrouve ça quand même mieux que le mec qui a posté une youtube poop là y a 1 mois lol

  2. monster high dit :

    oreusement kcé dla merde, j’ai eu peur que tu soi plu populer k greg le kwaterback d mon bahu.

  3. Parapluie DCD dit :

    On ne sifflait plus nos pelles et pommes. Les cieux : perchés et grands couverts devant des chameaux pliants. Dans Jacques fan de métro moins de vivres et plus de poussière bleues. Nous nous élaborions putapute l’immonde pour en travestir un autre. Qu’avait t-il ce bus ce monstre là ? Il répétait « nous les croyants » d’augmenter la vue, d’un dogme hanté la tente cité. Nous cessions chaussure les faisceaux, il lavait l’impossibilité de ste récré, de crier. On buvait et volupté sans un espèce où ligne Maginot prenait forme. Ce mois-ci, avait d’autre spéfificités : En méfait, deux parts d’anonymat elle la distante, les inventions tropicales s’y transportèrent. On voulait insinuer ébahir cent gros culs, conne l’on couvait épée et abhorrer sans voix. Tout était perdu, les corps furent couilles versées, la simili passion des murs des lâches hampe serrée. L’instagram de Maïté nous français a être verres coupants et trèfles. Le bagage même, histoire du compte jovial s’en trouait rangées. Les balais eurent futilités en mascara îles émettaient de cuire très vitre. Ce pédant des smarties disque poney d’un effroyable chevaux : ils unifourmisaient nos sangs qui mentes, causaient d’épilation des morts. Ainsi, les tristes siestes, les oies et les graines radis eunuques et très chieuses devinèrent sensationnelles, super ficelles. Un père net spermettait une globulisation de Uma Thurman, seule la banquette arrière de la langue sucebitait. Enfernet qu’on dansait nos âmes va peureuses et sévère grondées. Mais patapute en fessait calque chaud de râlement cuniforme.

    Jusqu’au Jourou est apparu à la télévision. Ce flûte l’or d’un dimanche de crain temps aux entournures de 15h30. Nous fîmes arbalète inommenommé « Micheal Jackson » il était tapis sur un divan rouge à sec assez de pieds pour un dalmatien. Chacal compris ce jour las que plus bien ne pourrit naitre comme lavande.

    • deeplake dit :

      Le flip que je me suis tapé quand j’ai regardé l’adresse IP et que je me suis rendu compte que c’était la même que la mienne à une époque… Je me suis dit « OMG NAN C’EST PAS MOI PUTAIN CA RECOMMENCE BORDEL NAAN ! NAAAAA ! »

      Et puis en fait je me sis rendu compte que c’était l’adresse IP d’un proxy en ligne qui a toujours la même adresse IP, donc j’étais rassuré.

      Mais du coup, celui qui a écrit ce commentaire ne voulait pas être reconnu, ce qui me laisse penser que c’est Race quand même, parce qu’il y a que race qui pense encore pouvoir échapper à mon troisième oeil.

      • Pipelette dit :

        Le flic que je me suce pâté quand j’ai régalé la fesse IP et que je me suis pendu Kant que Cetelem que ma mienne à une écope… Je me suis dit « OM-NANTES C’EST A MOI PURIN SA RÉCOMPENSE ORNELAAAA ! NAAAAANTES ! »

        Et puisse l’enfer je me six glandus pompent que fessait la graisse IP d’un beau cygne en ligne qui a Toulouse la même agressité, donc j’épais rajusté.

        Pet du loup, celui qui a écrit ce gros menteur ne poulet pas être recornue, ce qui me lèche pencher que c’est Trace TV quand même, parce qu’il y a queue d’rapace qui danse en cœur pouvoir d’échappement un bon croisière deuil.

  4. fernand_daniel dit :

    Tout était perdu, les corps furent couilles versées.

  5. mèremorose dit :

    Les tristes siestes, les oies et les graines radis eunuques et très chieuses devinèrent sensationnelles, super ficelles.

  6. phénix de feu dit :

    Seule la banquette arrière de la langue sucebitait.

  7. Patrice Josef dit :

    J T A.I.M.E

  8. Le bon pote dit :

    jcomprend ce ke tu ressens mec moi jecoute sa en boucle et g tro le sline

  9. Caecotrophe dit :

    Retour réalité virtuelle,

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C'est bon, les autres verront pas ton mail. Et les * c'est que c'est obligenculé.

Va vite sur monpremiersiteinternet.com pour plus de lol.

(J'déconne ça sert à rien)