Derrière cet article se cache une volonté de rejoindre le navire MPSI en souvenir du bon vieux temps, mais aussi une méchante flemme de continuer ce petit récit. Comme il est pratique de proposer alors de le continuer dans les commentaires, et pourquoi pas même proposer un vote pour déterminer qui est le meilleur, le plus grand, le plus fort. Ça va booster ton ego ça, hein? Non? C'est pas assez ludique pour toi? Comment ça j'abuse? Mon ego? Comment ça mon ego?
Unique règle : le texte proposé doit contenir exactement le même nombre de "vers" (sans compter l'illustration).
Date limite : ¯\_(ツ)_/¯
Récompense : pas un truc foufou en tout cas.
[censuré pour twitter]
trop dur ciao
j’ai pas compris, il faut continuer la bd ou les vers ??
o.0
Le mont il est àl
L’Upotie
C’est comme ça et pas autrement
Leur vides d’opticiens
Putrides ikealistes
Un nid d’arabes racistes
Croyant en la faute inhumaine
Au milles radeaux de sable
Conne s’exclame « où est le coin ? »
Poux vrais toussent qu’on pensait
Immeuble connasse bras
Semons streum Hyper U aimable
Semoule montre à réoport aussi à livrer
Seulemence voàlà
Il est belle et bonne là
Mes thunes personne
Avec un tronche
Dégâts
Des eaux
Et lune muette
Il affrète ses mains mises
Tourments j’ai dans un orthodentiste
Un an de droit spermissif
Cents auto ridées
La soluce hiberné
Mes zizis
Chaque musulhumain connait un nue nain
Qui cognait un bout de pain
Qui collait un putain
Qui causait un futon
« Acculez-moi
Ah cueillez-moi
Vous qui êtes si blond
Ailée moite assure livre
Jeune m’obsède chien »
« Un mou svelte aliment! »
« Amoul-Ben Pain de Mie! »
« Un tout beau Carambar! »
« Un new level aié! »
Un roux pelle à huit ans
Il s’emmerda au premiers nibards
Pour péter son dessert
Commandant Villepinte
Ce lot de cons de foire
Criant pour qu’on ne vienne pas lui parler
La dame d’ikea
Monique
C’est comme ça qu’ils l’appelaient
Responsable des rayons
Cuisine et salle de bains
Un nid de conformiste
Croyant en la beauté mobilière
Au miracle stratifié
Comme si le meuble et la deco
Pouvaient tout compenser
Monique est seule dans la réserve
En monstre irrécupérable
Que personne ne réussit a virer
Elle fixe les palettes
Il est bel et bien là
Le méthod ringhult
Des pieds
Des planches
Et une poignet
Elle monte pour l’attraper
Mais continue d’escalader l’empilement
Un endroit permissif
Le beau sommet de la pile
D’ou elle contemple le béton
Mais ici
Elle accroche son cou à un latjo
Qui est bien pratique d’utilisation
Qui est bien pratique d’utilisation
Qui est bien pratique d’utilisation
« Accueillez-moi
Accueillez-moi
Vous qui êtes si bons
Aidez-moi à mourir
Je ne possède rien qu’un badge »
« Un nouvel arrivant! »
« Un nouveau produit! »
« Un nouveau collaborateur! »
« Un nouvel aliéné! »
Un nouvel endetté
Elle s’arrêta au premier étage
Pour fêter son entrée
Commanda des kakaor chokladflarn
Seule à la cantine
lol pk jlis tjr les consignes aprés l’examen ?
ah c bon lol ca va j’avais mal compris
non ca va ja v juste pas compris que j’avais compris
g adoré sérieu xpdrrrrr
On est le groupe qui a changé ta vie
Tes goûts musicaux et la façon dont tu t’habilles
Ta manière de choisir tes amis.
On est un mouvement, beaucoup plus que juste des artistes,
Chaque jour qui passe nous vendons plus de disques,
On est important, beaucoup plus que tout ce que ces nazes disent.
Concentrés pendant que les autres s’éparpillent
Rien que des tubes comme la forme des paquets de smarties.
Tu ne crois pas en notre influence ?
Mec please, va voir un show de TTC
Compte les sosies de cuiz.
Rappelle toi game over et tout ce qu’on a sorti depuis,
Ces monstres coulent comme dit notre pote yohgi de Suisse.
J’en place une pour le Jinivanivanisushahaus et tout nos pôtes qui savent que TTC tue sa race,
Des groupes de kids dans chaque ville sur la carte qui reconnaissent tout ce qu’on a pu apporter sur la table.
.
J’fais les ronds, j’fais les ronds, j’fais les ronds, le monde
Plus je me rapproche du sommet, plus j’entends le ciel qui gronde
J’voulais juste grailler
QLF ne cherche pas d’alliés
Eh zut la vie est bonne, bonne à niquer
Ils vendent leur cul, leur mère
On n’imagine pas cette vie sans remporter la guerre
J’aimerais un gosse mais à laquelle de ces putains le faire
Je pense à demain du soir au matin
J’ai cru apercevoir le des-tin
Ouais je t’ai jamais aimé, on s’est jamais vraiment quittés
Gratte pas l’amitié, man on sait pas vraiment qui t’es
Rien n’a changé, dans ma direction du vent
Y’a juste que j’recompte un peu plus qu’avant
P’tit frère n’a pas de grand, prince de la ville
J’m’écarte du bâtiment, j’oublie le taro du kil’
[Refrain]
Ouh Onizuka
Ouh, ah
Ouh Onizuka
Hella, hella, hella, hella
Hella, hella, hella, hella
Hella, hella, hella, hella
Ouh Onizuka
Hella, hella, hella
[Couplet 2 : Ademo]
Mhh ouais
J’viens faire mon beurre, mer de billets, j’fais des longueurs
Toi tu fais l’con, j’parle au scié, parle à mon coeur
Bellek au douze, bellek au *krr*, ou là zumba
La street c’est fou, j’fais le tour de la ville #Onizuka
Comme Yakuza, comme GTO
Il pleut des balles à la météo
J’vois pas d’étoiles, à part au tel-ho (à part au tel-ho)
Elle l’a plus gros que J-LO
Pas peur d’aider un frère s’il y a heja
Mais l’frère a peur de m’aider quand y’a heja
Moi quand j’m’habille, j’ai l’flow #Onizuka
Le charme de la street, ouais gros, #Onizuka
La vie c’est chelou, (vraiment chelou) solitaires, mais entre nous
Son boule est relou, (vraiment relou) hein les loups s’cassent le cou
[Refrain]
Ouh Onizuka
Ouh, ah
Ouh Onizuka
Hella, hella, hella, hella
Hella, hella, hella, hella
Hella, hella, hella, hella
Ouh Onizuka
Hella, hella, hella
Hella, hella, hella, hella
Ils vendent leur cul, leur mère
Ouh Onizuka
Ouh, ah
P’tit frère n’a pas de grand
Ouh Onizuka
J’m’écarte du bâtiment (Hella, hella, hella, hella)
Sous mes bras ça sent la weed
Et un peu le umeboshi
Fais ta taupe billets lipides
A bientôt sur la page wiki
Putain je me sent tellement con d’avoir espéré des réponses pertinentes de ce site.
Heureusement que vos coms sont cool quand même.
C’est ta technique tsundere pour dire que tu kiffes la vibes, on voit clair dans ton jeu tu sais
(c une suite)
Et Soudain…
Personne ne vint,
Seul le vin,
Montait en son sein,
Il était tard,
Et les fards,
d’une barman à part,
brillaient en sombre phares,
En lui il fuit,
Puis il sorti,
Dehors la nuit,
Fidèle amie,
Son ombre le suit,
Bien malgré lui,
Et oui la lune brille,
Comme une vielle fille,
Il marche sur le rivage,
D’un chemin pour rouage,
Ce soir exceptionnellement sans age,
Car sans cents ebrouages,
Au cœur de la cité,
Il aperçut des femmes souvent citées,
Aux corps et cœurs cécités,
Par des drap pures qu’elles portent l’été,
Les étoiles,
Voilent leurs voiles,
Et il se sent heureux et vide
Triste et avide
Joli choix de couleurs 1234 bel aérodynamisme 123456 c’est la poésie 1212 7/20 pour le mystère
Encore bouffé des champignons pourris
Même près 4 ans à manger des moisissures
Toujours il reste une vieilles saloperie
Pour te retourner les tripes contre le mur
Pour te faire chier du vomi
la première pinte bue
le premier cul maté
La première vague mélancolique du gland rarement nettoyé
par des langues dodues
Deuxième pinte commandée
La ville est grande quand d’autres sont petites
Vers élégant qui tournait dans son crâne
Lui qui roulait de Babel à son gîte
Quelque part, entre Mars et un vieil âne
Mais jamais une bouche pour enterrer sa bite
Son sac chez quelqu’un d’autre
Plus en sécurité que lui…
Tiens, voilà qui lui plairait !
être de toile, de plastique et d’objets
De n’avoir pour conscience que celle d’un autrui
Troisième verre, de quoi boire
de quoi boire c’est de l’argent ou alors des maladies
Comme ces champignons qui font leur colonie
l’alcool peu cher se trouve sur les trottoirs
abandonné, comme les corps qui le tètent goulûment
téter téter téter
téter tétons tétés
look at my instagram pure temptation
les idées tournent, mais elles ne changent pas
sauf si elles sortent par la bouche
« Quoi ? »
« Non rien, rien rien. »
C’est raté, il ne sait pas parler aux autres
il aurait su, il savait comment faire
boire assez pour parler, pas trop pour serrer
Il est grand temps pour lui d’engager les toilettes.
Certes le choix des mets fut-il aléatoire,
Mais il n’est pas utile d’allonger les déboires,
En vidant sur ses shox l’impoli dégueuloir.
Se pressant il courut décharger l’estafette.
une meuf bonne
putain elle est à côté d’là ou chui
j’m’installe, j’ai l’air sombre
elle va me parler
elle a l’air fraîche putain putain j’l’a baise putain j’ai trop envie de ken sa mère des CLAQUES SUR SON BOULE, putain je commence tendrement je lui parle mais quand ça commence à devenir chaud main entre les cuisse je gonfle mes muscles pectoraux la chienne soupir je la serre contre un truc dur, une caisse un mur un arbre je l’embrasse salement ma lèvre inférieur carrément entre ses dents et j’insère ma langue de force j’écarte ses putains de dents et LAN d’un mouvement ample je balaie toute SA PUTAIN DE GUEULE EN ME SAOULANT DE L’ODEUR DE SES NARINES l’arc de cupidon où je tapoterai mon connard de zob dans 5 MINUTES J4AI PAS LE TEMPS j’ai envie de la niquer la main sur sa HANCHE je la serre pour MONTRER L’INSISTANCE qu’elle perde ses SENS j’imagine MÊME PAS si elle kiffe ça putain c’est vrai, j’fais que rêver là
Transcendant surtout le clin d’oeil à Rihanna et le rythme en crescendo du récit très prenant bravo 9/10 pour les fautes d’orthographe
Ohaï !
🙂
merci pour la pépite
j’ai besoin encore d’un peu de temps
bouhouhou jen ai marre de tatendreuuuuuh
Et ses prières furent exaucées
Personne ne vint lui parler
Son air maussade
Sa tronche patibulaire
Lui offrirent cette solitude
Solitude qu’il croyait rechercher
Qu’il feignait d’apprécier
Mais pourquoi diable serait il venu dans ce bar s’il cherchait réellement la solitude
Alors que de toute façon
La solitude l’attendait à tous les coins de rue
Elle l’attendait chez lui
Dans son lit
Glissée sous la couette
Là bien au chaud
Là ou personne d’autre qu’elle ne l’attendrait jamais
Mais alors que cherche t’il vraiment ?
Le sait il seulement lui même ?
Non il ne le sait pas
Ou du moins il se cache face à cette vérité
Qui ferait de lui un être fragile, sensible et carencé
S’avouer qu’il a besoin des autres pour vivre
Qu’il a besoin de rires, de paroles, d’échanges, de partage
Ferait de lui cette petite merde dégoutante qu’il méprise tant
Non, lui n’a besoin que des réminiscences du monde qui l’entoure
Et jamais d’affection ni de tendresse
Qui ne sont qu’illusions et faux semblants à ses yeux
Qui ne sont qu’éphémères
En somme ils ne croient pas aux sentiments
Vulgaires trompe-l’œil dans lesquels il pique son incrédulité
Simples réactions chimiques bonnes qu’à nous induire en erreur
Se masturber chaque soir lui suffit
Il répond simplement à un besoin
Et s’il pouvait se masturber dans une femme
Cela lui conviendrait tout autant
En a t’il vraiment besoin se demande t’il parfois
Retrouvons le ce pauvre bougre
Il est toujours au accoudé au bar
Et entame sa septième pinte
Le flou s’empare peu à peu de lui
Il arrive enfin à s’éloigner de lui même
Et bientôt il vomira son dégout
Des autres, de lui, et de lui à travers les autres
Au mieux on le ramassera et le couchera sur la première banquette venue
Au pire il finira dans le caniveau juste à côté de cette merde qu’il méprise tant
La solitude toujours au fond de ses poches et dans ses chaussures
Ha t’es gagnant si personne ne poste de truc que j’aime plus d’ici là (oui c’est un choix arbitraire mais si le peuple veut voter alors on fera un vote)
ce serait cool que tu sacres un champion pour ton concours de pot aime. Non rien
Et tout en sirotant sa bière
Il épiait le monde aux alentours
Ses yeux se posaient alternativement sur une jambe moulée dans un collant
Puis sur un décolleté plongeant
Ou bien sur une paire de fesses bien dessinée sous une petite robe de soie
Dire qu’il se rinçait l’œil serait un euphémisme
C’était une véritable douche de douces courbes qui inondaient ses globes oculaires
Mais plus il buvait plus la discrétion dont il faisait preuve s’estompait
Jusqu’à ce que personne ne puisse plus ignorer ses regards lourds
Qui tombaient sur les formes féminines comme la pluie sur la Bretagne
Autant vous dire qu’il n’intéressait pas grand monde ce soir là
Non pas que les autres lunes lui furent plus favorables
Jamais il n’avait intéressé personne mais cette soirée était encore moins sienne que les passées
Rien qu’à le regarder on avait le taux d’alcoolémie qui grimpait et la nausée qui montait
Les poivrots et autres piliers de bar s’inclinaient devant leur prince
Une fois bien cuit il se permettait des remarques grivoises d’abord, puis franchement obscènes
Bien que personne ne puisse les entendre puisqu’il les marmonnait dans un français haché et inaudible
On aurait dit un vieux mage fou en plein incantation
Simplement on percevait par moments un mot ou deux entre un grognement et l’autre
« Hmmm.. Haemm.. PUTE… hmmmm.. hemmmm.. SALOPE… hinn.. hmmmm.. BAISER… hmmmm.. »
Un vide circulaire s’était formé autour de lui
Un peu comme le font les antibiotiques dans les boites de Petri
Par ailleurs une odeur désagréable commençait à exhaler de sa personne
Il avait chié dans son ben l’enculé !
Et le coulis ruisselait sur ses jambes
Vous pensez bien qu’après ça aucun individu sensé ne s’approcherait de lui
Oui mais lui tout jouasse et très fier de lui
S’était mis en tête de tenir un discours qui ferait sans aucun doute l’unanimité parmi l’audience
Il se leva donc et prononça ces mots :
« J… Jvou…JvoU.. haeerg.. jVou bèZ … bAnDe de pd… »
Discours qu’il ponctua par une magnifique trois fromage livré à domicile s’il vous plait
On le fit alors sortir gentiment à grands coups de balai et de coup de pied au cul
On lui fila même une belle guirlande de gnons en guise de remerciement pour sa participation
Tandis qu’il urinait entre deux voitures le visage tuméfié, le froc emmerdé, et le t-shirt décoré façon art abstrait
Il eu une idée géniale, plus que ça : une révélation
« Et si j’allais aux putes » se dit il alors
Quelle idée il n’eut pas car c’était un mardi et le mardi y’a toujours Yvonne
Et Yvonne, un belle sexagénaire enveloppée dans du gras de jambon et maquillée comme un camion citerne, elle suce comme pas deux, un véritable aspirateub
Il s’encourut donc à la recherche de sa douce
« En plus elle prend pas trop cher » se disait il en virevoltant dans les rues de la ville
Et la voilà enfin
Elle semblait presque l’attendre
Clope au bec, elle lui annonce de suite le tarif
« C’est vingt balles la pipe cinquante la baise et j’peu faire dans le dégeu si t’allonge large »
Le voilà comblé comme un cagibi, il mourra le lendemain d’une overdose de yaourt aux fruits.