[+18] Le jeu qui vous m'aille.

Bon allez, on se fait une petite présentation de notre jeu préféré comme ça là pouf. Et en plus on fait pas de fautes d'orthographe histoire de marquer le coup.

Je vais prendre mon jeu préféré en m'en tenant uniquement à la nostalgie que j'éprouve pour celui-ci. Donc ouais j'ai déjà kiffé d'autres jeux depuis mais comme ça je vais parler comme un gosse et ça m'aidera à être inspiré.

Voila donc ouais Final Fantasy VII sans honte. Pour les circonstances, c'était genre le premier FF à sortir en France si on compte pas le Spin-off Mystic Quest (Seiken Densetsu) sur Game Boy (culte lui aussi). J'avais déjà touché à Suikoden en tant que premier rpg mais là avec ff7 il y avait genre de la 3d et un univers bien plus singulier que ce qu'on voyait alors à l'époque, enfin pour ce que je voyais moi en tout cas.

Bon mais c'était pas tout, c'était avant tout une prouesse technique pour l'époque et donc dans les magasines ça pétait un max de rétine. Le mélange 3d Super Deformed pour les personnages et toile de fond pour les décors ça donnait juste une impression de jamais vu qui foutait la trique à chaque image du mensuel. En plus ben y'avait les cinématiques en image de synthèse sachant que Squaresoft il mettait la misère à tout le monde à cette époque, bon surtout avec ff8 mais déjà le 7 tu fermais bien ta gueule.

Et puis bon en plus d'être beau t'avais tout l'univers profond et des personnages à la psychologie très poussée pour ce qui se faisait à cette époque. Un espèce de message alter-mondialiste, écologiste et surtout un appel à la rébellion à double voie : Cloud le héros qui veut aider ses amis et sauver le monde et Sephiroth, le méchant désabusé voulant connaître la vérité sur sa maman et niquer le monde. On se retrouve dans des décors mêlant Science-Fiction, Steampunk et Heroîc Fantasy tout en gardant un pâte bien particulière qui fait qu'on reste dans un univers onirique et bien cool. Tout ça accompagné de la musique du niakwé qu'est plus à présenter:  Nobuo Uematsu.

Après c'est sûr faut pas oublier que c'est un jeu donc faut que le gameplay suive. Ben il suit quoi. Outre le déroulement assez classique qui vous fait voyager de ville en ville et de donjon en donjon (sans oublier Midgar, une "immense" ville prenant une bonne partie du début de l'aventure) et les combats survenant aléatoirement, comprenez par là qu'ils ne sont pas en temps réel, vous avez tout de même un système de combat encore regretté aujourd'hui. J'vous explique pas parce qu'on s'en branle mais en gros vous aviez pas mal de possibilités pour composer votre attaque/défense. Ensuite voila quoi c'est du atb et donc les stratégies se faisaient sous la contrainte du temps.

Donc ouais sinon ça tenait sur une bonne trentaine d'heure pour les précoces et sans faire les quêtes annexes et les personnages étaient classes, surtout Tifa parce qu'elle a des gros einss. Ah et puis j'ai pas dit mais y'avait quelques originalités tel que le fait de pouvoir aller niquer ta mère à tout moment en se mettant sur les points de sauvegarde.

Voila c'était FFVII.

Dans +18. Là t'as le permalien. Et là tu peux voir les tags.

17 coms pour Le jeu qui vous m'aille.

  1. J’adore ces jeux hentai, ça me rappelle moi et la mère de Deeplake.

  2. Hector le Castor, nouveau patron de MPSI dit :

    T’es viré LCO.

  3. Hector le Castor, nouveau patron de MPSI dit :

    TU ES VIRÉ !!

  4. Le baroudeur de ta maman dit :

    Putain mec tu fais fort la, tu connais Monkey ? Non mais c’est pas que tu fais comme lui ou quoi hein ? Surtout avec 1-2 ans de retard. Surtout pas mais bon. Et puis tu crains. On te reconnais rien qu’a ton style d’écriture, le ^^ et tout ca. Et tu crains aussi. Tu crains. Crains.

  5. Putricide d'amonium dit :

    J’avoue j’ai chialé comme une grosse tantouse quand aeris s’est faite buter…

  6. Bernard le Connard dit :

    C’était cool pokémon
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    Et aussi street fighter.
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  7. Expérience de joueur, avec Oncela dit :

    Ouais, alors moi, j’ai commencé avec FFVIII, tu vois (me demandez pas pourquoi, c’était mon grand frère qui choisissait nos jeux de ce temps-là). Donc, forcément, c’est mon FF préféré, et donc un de mes jeux préféré, forcément. Et ça sert à rien de débattre : le meilleur FF est notre premier, on est tous d’accord sur ça, je pense.

    Bref, j’ai joué au 7 quelque temps après avoir fini le X, en fait. Je sais pas, j’avais jamais été pressé d’y jouer, comme si j’avais peur de rentrer dans la salle de bain sans frapper et de voire qu’en fait, nu, FFVIII était beaucoup moins bandant.

    Bref, je me suis enfermé pendant deux ou trois jours dans le noir (je devais avoir 13/14 ans), ma mère m’apportant des sandwich pour me dispenser de faire des poses-bouffes pendant mon jeu (c’est la seule et unique fois qu’elle fera ça), et j’ai bien gratté le jeu comme un porc pendant 72h, à peu près. C’est un des jeux que j’ai joué le plus sèchement, le plus rapidement et bourinement, donc je m’en souviens pas si bien, à vrai dire. Mais y a bien une chose dont je me souviens. J’étais à la fin du jeu, après que le météore se soit scratché, et j’errais sur la map, à bord du ptit vaisseau de l’époque, afin de boucler les quelques quêtes annexes restantes avant d’aller achever le jeu – attitude classique du jeune joueur de RPG qui a tout laissé pour la fin.

    Bref, je me souviens qu’il y avait cette musique lancinante, sombre, sensée représenter le chaos et le désespoir de la situation, j’imagine, et je me suis retrouvé à l’écouter en boucle, tournant en rond sur une map pas si peuplée, finalement, après trois jours de jeu sans interruption. Et là, je m’en souvient bien, m’a sauté en pleine gueule, sans m’y être jamais attendu, le sentiment qui redéfinirait pour toujours mon approche des jeux vidéo et qui mériterait un gros article bien long rien que pour l’expliquer à moitié : j’ai réalisé que le monde de Final Fantasy VII était virtuel, dans toute la profondeur que ça peut entendre. J’ai réalisé que toute l’histoire, que tous les pnj, que chaque flanc de chaque montagne n’existaient pas, dans aucune dimension ou sous aucune définition. Pour la première fois de ma vie, l’illusion du jeu vidéo s’était fanée et ne prenais plus sur moi. L’évidence que tout y était faux n’avait jamais était si violente.
    J’ai éteins ma playstation, laissant le jeu infini.

    Quelques années plus tard, je rallumai la console et finassai le jeu dans l’heure, sans satisfaction ni amusement, ni rien.

    Donc j’ai toujours eu beaucoup de mal avec les apologie de FFVII, qui fut pour moi la première expression de ce mépris considérable que j’éprouve envers ma passion, et qui n’a depuis cessé de croître.

  8. Deeplake dit :

    Salut, ça pose pas de problème que je fasse ma présentation ici ? Ouais ? C’est cool, merci.

    Mon jeu préféré c’est la suite Portal que j’ai fini une dizaine de fois chacun, mais comme elle a déjà été abordée par iie, je me tourne vers un autre jeu qui a marqué mon enfance :

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    Avant la sortie de Tournament en 2004, Unreal a été mon premier vrai jeu sur pc. J’avais vécu des choses extraordinaires avec Mario sur supernes, mais Unreal 1 m’a complètement transporté, un peu comme une première fois sexuelle en moins naze… Nan parce que voilà, faut mettre une capote, et puis tu débandes, et puis genre tu recommences mais ça rentre pas, tout ça, tandis que Unreal c’était du pur bonheur.

    Bon le scénario fait pas vraiment bander par son originalité à première vue : t’es un prisonnier anonyme qui voyageait dans un vaisseau spatial / prison et le vaisseau s’est crashé sur une planète habitée par des créatures pacifistes adeptes de la méditation et exploitées par une race extra-terrestre supérieure qui en font leurs esclaves.

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    Ce qui est fascinant dans ce jeu, c’est à la fois la beauté des paysages et la richesse des mondes que l’on visite, mais en même temps cet aspect glauque qui transpire le sang et l’angoisse, sans tomber dans la facilité d’un Blood ou Blood2 The Chosen, qui sont de bon jeux mais trop chargés en hémoglobine, limites vulgaires… Unreal composait une excellente qualité dans l’horreur, avec des situations laissant place àce que l’imagination peut faire de pire. Le pouvoir de suggestion a toujours été un rouage de tout bon film d’épouvante : Unreal a su piocher au septième art les ingredients essentiels d’un bon gros flip et le retranscrire en jeu vidéo.

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    Bon, c’est sans doute parce que je traine avec Routier depuis un certain temps, tout ça, mais genre maintenant j’suis un peu trop blasé par les trucs censés te faire peur, j’veux dire SCP-087 pour moi c’était le train fantôme du parc Disney, j’suis devenu un peu élitiste dans mes goûts en matière d’horreur, mais il a bien fallu commencer par quelque chose qui nous pousse à en découvrir plus : pour moi c’était Unreal 1.

    Et à vrai dire, il y a beaucoup de parallèles à faire entre Unreal et Portal, à ceci près que dans les deux, on se réveille dans une cellule et qu’on est comme Erin Brokovitch, seul(e) contre tous, avec un stress continu dans des environnements de flippé de la vie.

    Voilà une petite vidéo à mettre en grand écran avec pas mal de son pour bien profiter, c’est juste les premières minutes du jeu.

    Quand on a 11 ans, c’est vachement plus marquant… Bon sinon, les graphismes sont pas extraordinaires, c’est un vieux jeu, mais c’est ce à quoi doit ressembler un jeu, à mon avis… Les trucs vachement réalistes sont pas ceux qui me font le plus bander, par exemple à un moment sur ma PS3, j’avais installé un émulateur Supernes avec Super Mario World et à côté je venais de télécharger Assassin’s Creed… Ben franchement, AC était vachement bien foutu, pas de problème, un gameplay un peu bizarre mais une qualité de jeu indéniable, rien à dire, mais genre je me couchais à une heure raisonnable avant mes partiels… Super Mario World en ému sur PS3, je faisais des insomnies tellement je voulais traverser la carte et tuer les boss. Je savais que ces putain de carapace de tortue n’étaient pas réelle, mais en même temps c’est ça le jeu vidéo, c’est pas la réalité : t’es dans un monde répondant à d’autres lois et tu dois t’adapter pour gagner. Et quand j’arrivais pas à passer un niveau parce que je me prenais des boules de feu dans la gueule, j’avais juste envie de péter ma télé en deux. Voilà, ça c’est un jeu, ça c’est un truc où tu te sens vivre. Assassin Creed, respect, toussa toussa, mais on s’emmerde, y’a pas à dire…. Collecter l’argent des paysans pour s’acheter des armures encore mieux, faire des filatures : ok, c’est cool, mais on s’en branle, enfin j’accroche pas. Par contre, libérer la princesse Peach et mettre une race à Browser, là je bande.

    Voilà, si vous trouvez que ça manque un peu de cul,

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  9. Hector le Castor, nouveau patron de MPSI dit :

    Maintenant remplace le « h » par un « f » ^^^^^^^^^^^^^^

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C'est bon, les autres verront pas ton mail. Et les * c'est que c'est obligenculé.

Va vite sur monpremiersiteinternet.com pour plus de lol.

(J'déconne ça sert à rien)