Pingouin de l'Apocalypse (Le Prophète)

Je connais tes œuvres. Voici, parce que tu as peu de puissance, et que tu as gardé ma parole, et que tu n'as pas renié mon nom, j'ai mis devant toi une porte ouverte, que personne ne peut fermer.

 

Dans THE INTERNET. Là t'as le permalien. Et là tu peux voir les tags.

Un com pour Pingouin de l'Apocalypse (Le Prophète)

  1. MEGALCO dit :

    Jtiens à dire que j’espère que le final sera grandiose avec des surprises et des cliffhanger en vidéo.

  2. Oncela5eva dit :

    C’est une émission du genre « Faites entrer l’accusée ». C’est vers le début, quand la voix off, après avoir brièvement rappelé la violence du crime, nous balance que, aucun suspect crédible ne ressortant directement de l’enquête, un simple trouffion du patelin a d’abord été mis en garde à vue du fait des quelques délits mineurs à son actif, avant d’être rapidement relâché. J’incarne alors ce trouffion, au moment où la police le conduit à sa cellule.
    « Naturellement », je me dirige au fond du couloir et pose ma main sur la poignée de la dernière porte, prêt à l’ouvrir. Le policier qui me conduit m’indique une autre porte, plus avant dans le couloir, me signalant que celle qui me fait face est réservée aux détenus dont le casier comporte des crimes majeurs, quand le mien n’en a que de mineurs. Je feins de m’excuser de mon erreur, et reviens vers lui, alors que la nature de la cellule que j’avais choisie m’était parfaitement connue. J’avais simplement oublié le rôle que je joué et m’était comporté comme moi, Oncela, l’aurait fait en de pareilles circonstances – quand bien même n’ai-je pourtant jamais commis le moindre délit.
    Ma cellule est grande et lumineuse et accueil trois ou quatre autres trouffions dans mon genre. Je sais d’instinct que, une fois le policier m’y aillant conduit sera sorti, je devrais allier ruse et virilité pour ne pas me faire péter la gueule par mes codétenus. Et, justement, à peine la porte se referme-t-elle que l’un d’eux s’adresse à moi, froid et direct, toujours assis : « Montre-nous ta bite pour voir sa taille ». Je lui réponds, cash, « Et que se passe-t-il si elle est plus grande que la votre ? ». « On te pète la gueule », qu’il me dit. Malin, un sourire en coin, je lui fais remarquer que ça devrait être le contraire, que ça devrait me donner le droit à moi de les dérouiller eux. Ce à quoi il acquiesce, sans broncher, et nous nous défroquons tous. Je suis un peu déçu de réaliser que mon personnage n’a pas une bite franchement plus grosse que la mienne dans la vraie vie, bien que, après avoir passé en revue celles m’entourant, elle reste d’une longueur honorable. D’ailleurs, un instant, je me fais la réflexion que mes codétenus sont des cons à vouloir m’impressionner avec cette histoire de bite quand les leurs n’ont rien d’exceptionnel. Puis mes yeux tombent sur l’entre-jambe du dernier de mes compagnons, assis sur le grand canapé blanc. Une longue, fine et belle queue brune court le long de sa cuisse blanche, presque jusqu’au genou. Je balance, d’un enthousiasme sincère, « Ah, ça c’est une belle queue ! », signifiant que, face à un tel miracle de la nature, nous pouvons cesser nos querelles pour nous répandre en contemplation.
    Je dévisage enfin ce codétenu si bien monté, découvrant une belle petite gamine, de mon âge ou un peu moins, la peau pâle, les cheveux sombres et le regard doux, presque absent. Elle est franchement bonne. Je me retourne pour découvrir les autres, à leur tour, qui s’avèrent tout aussi charmants : une petite rousse timide, une blonde mignonne avec son petit carré à la France Gall, une autre brune chétive. Elles sont toutes aussi nues que moi, mêlant d’une alchimie divine leur corps maigres et naïfs, leurs yeux puant le sexe et leur bite, se balançant, au repos, sous leur cul sublime. Dans un enchainement que seuls les songes savent rendre aussi doux et naturel, nous baisons, d’une joie calme et murmurée. Je suis en train de prendre celle à la belle et grosse queue par le cul. Les autres se font de bisous et des caresses, allongées autours de nous sur le grand canapé blanc.
    Qu’on se le dise, je prends mon pied. Fort de mon ravissement, je vaincs mon instinct viril pour saisir la bite d’un des beaux corps alentours et la branler. C’est agréable. Tout en continuant à sodomiser doucement la première brune, je passe comme ça de bite en bite, allant jusqu’à m’en mettre une dans la gueule – hésitant, certes, mais assez profondément. Continuant à se caresser, vient un moment où deux des filles se retrouvent face à face à s’embrasser, au-dessus du dos de celle que j’encule. Comme un clin d’œil que je ferais au vice, comme un jeu, j’attrape leurs deux queues pour les sucer en même temps dans ma bouche. Elles ont l’air surprises du talent que j’y mets, ce à quoi je réponds que, à force de l’avoir vu faire, il fallait bien que j’y aie du talent. Avec le recul, je trouve maintenant cette répartie ridicule et vraiment peu inspirée. Mais l’honnêteté prévalant, mes amis, je vous la retranscrits telle-quelle.
    Après quelques autres instants d’allégresse, vient enfin pour moi celui de jouir. J’ai isolé la rouquine dans un coin, l’aillant allongé, sa face sous ma bite agitée, et lui proférant les quelques obscénités qui me viennent à l’esprit et qui me feront venir plus rapidement et plus fort (à cette instant, elle ressemble physiquement à la copine de Tempon qu’on a croisé à la JE – qui m’aime bien maintenant, parait-il, surement grâce à son amant mon bro rpz). Bref, la fille n’a pas l’air d’être entièrement sous le charme de ma logorrhée, mais elle y met du sien et sourit. Du moins, jusqu’à ce que je sorte un truc du genre « tu la vois bien cette queue qui vient d’enculer ta pote ? tu la vois bien, hein ? » qui lui fait remarquer que ma bite est un peu couverte de merde, la sortant de son attente complaisante. Elle insiste pour me la nettoyer. Elle sort un étrange produit de sa bouche, ou quelque chose comme ça, et m’en enduit le gland. Ça n’a pas l’air vraiment efficace, mais elle s’en satisfait et je peux reprendre ma branlette pour lui finir à la gueule. Hélas, j’ai l’impression que le rêve a écourté cet instant précis, puisque je n’en ai aucun souvenir détaillé.

    Nous avons tous fini et nous nous rhabillons. Comme pour reproduire l’espèce de déception que l’on place dans notre partenaire une fois la baise finie et l’excitation retombée, mon rêve a fait changer mes compagnons : la belle brune à la grosse bite a perdu sa bite et est devenue une asiatique type indonésienne, à la peau mate et épaisse lui enlevant tout son charme ingénu. Il en est à peu près de même pour les autres, qui n’ont plus de bite et sont désormais de vraies femmes bien normales. Pire encore, ces femmes sont maintenant des femmes que je connais, d’anciennes connaissances du collège, des amies d’amies envers qui je n’ai jamais eu d’affection quelconque (bien que leur physique ne renvoie précisément à aucune personne que j’ai réellement connue). Voilà que je connais à peu près leur passé et ai une idée de leur nature : je ne veux plus rester en leur compagnie. Puis me revient à l’esprit, comme un éclair, que la brune indonésienne que j’enculais était une grosse salope, du temps où j’entendais des trucs à son sujet, et que je lui ai tanné le cul pendant une heure sans préservatif. Et puis ces trucs de transexuel aussi ça fait bien pute. « Quel est le plus risqué entre la chatte et le cul ? », je me demande, les songes foutant un peu le bordel dans notre savoir élémentaire. « Le cul, bien sûr ! Mais il faut qu’il y est des micro plaies sur le gland, quand même ». Je regarde mon gland : sur la droite de mon urètre, presque aussi gros que ce dernier, un cratère sec s’enfonce dans ma chair, semblable à un abcès crevé. Et comme si j’étais trop con pour encore douter du problème, le fond du cratère est bien rouge, pour bien me faire comprendre que « il y a eu du sang, connard, ça a saigné ! TA BITE A SAIGNE ! ».
    Je réalise que, durant mon inspection sidaique, mon père m’expliquait depuis le derrière de la porte qu’il avait parlé avec la police et qu’ils allaient me mettre dans une cellule non mixte. Avec la demi-satisfaction de m’éloigner de la cause de mon probable sida, je passe par un trou dans le mur pour entrer dans de longs combles poussiéreux, lumineux et triste : ma nouvelle chambre. Je me réveil après quelques péripéties pas très intéressantes.
    Je comate un moment dans mon lit, jusqu’à ce que le rêve me revienne d’un coup, tout entier, et que je m’écrive, bondissant, « Oh mon dieu ! J’ai pas le sida ». Pareille joie devant être partagée, je vais dans la pièce d’à côté attraper mon ordinateur et écrire tout ceci.

    Toi aussi, visiteur de MPSI qui se protège lors de tout rapport à risque, rapporte-nous tes rêves que t’étais tout content que c’était des rêves et pas la réalité.

    • le retour du pavé dit :

      tl;dr gro pédé

    • Smd dit :

      Un coup j’ai rêvé que j’avais brulé des gens et que la police était à mes trousses, et je me disais « mais pourquoi ‘jaif ait ça c’est fini je vais finir ma vie en prison », et j’avais vraiment la peur au ventre je me sentais seul au monde, comme si c’était pour du vré, et pis je me suis réveillé.

    • Werewolf in love dit :

      Une fois j’ai rêvé que j’avais frappé un de mes potes jusqu’au sang parce qu’il m’avais dit un truc du genre : « woah putain t’es trop une merde tu sais pas faire de strike » (on faisais du bowling) du coup paf je lui éclate la gueule sur le sol et je luis fous des coups, et après j’étais la aussi « merde je regrette trop et tout »
      voila

    • Deeplake dit :

      J’ai eu un accident de voiture il y a deux ans. La sensation de perdre le contrôle du véhicule et de sentir un truc d’une tonne glisser sur l’eau et la glace pour finir dans un ravin m’est restée vraiment gravée. Plusieurs nuits d’affilée, j’ai rêvé que je perdais le contrôle et que j’allais mourir. C’est étrange, parce qu’à la seconde très précise où je ne savais pas vraiment si j’allais m’en sortir vraiment ou non et que j’étais en train de sortir de la route, j’ai eu une sorte d’euphorie… Vraiment, comme si j’éclatais de rire, genre « voilà, c’est fait ! je peux rien y faire, je suis dedans jusqu’au cou, MDR » et j’avais le sourire, l’espace d’une seconde… J’ai pas vu ma vie défiler, j’m’étais juste dit que c’était fini. Pareil pour mes rêves, mais toujours en me réveillant au moment de l’impact de la voiture sur un arbre, en sursaut et en sueur, tombant parfois du lit en criant de surprise, comme si je ne voulais pas que ça recommence… Ca a duré une ou deux semaines et puis ça allait mieux ensuite. Maintenant plus rien.

      Sinon en plus fun, quand j’avais 8 ans j’ai rêvé que des singes avaient des rasoirs électriques dans les rues et qu’ils me poursuivaient pour me tuer. Enfin, je sias pas si c’est plus fun pour vous mais pour moi si.

    • MEGALCO dit :

      Outre mon rêve récurrent sur le tunnel noir et la lumière blanche au bout, il y a bien eu cet épisode de mon enfance où je me réveillais dans ma chambre me faisant attaquer par ma mère qui était alors devenue un zombi. Elle s’est approchée de mon lit jusqu’au point de me regarder dans les yeux à 10 cm du visage pour me ramener vers la réalité.

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