Histoire de

Juste un petit posute en rapport avec ma vidéo sur le vin blanc qui ressemble à de l'huile d'olive postée ici il y a quelques jours : en effet, un certain mickeys17m de YouTube a fait une réponse vidéo que je trouve très drôle.

Et pour ceux qui auraient raté l'originale, c'est ça.

Dans THE INTERNET. Là t'as le permalien. Et là tu peux voir les tags.

5 coms pour Histoire de

  1. Bernard le Connard dit :

    Eskil va fair des podcast sur les chips comme cipri1 et norman ? LOL MDR

  2. Salut ce commentaire a pour but de faire sentir moins seul(e) la personne qui a fait cet article étant donné qu’il n’y a que 2 commentaires.
    Je vais donc rédiger un petit roman pour faire genre le mec intéressé et aussi pour faire genre l’article trop cool.
    L’agnosticisme à l’égard des religions.
    La conception philosophique même de l’agnosticisme fait qu’un agnostique peut ne pas éprouver de « l’animosité » à l’égard d’un croyant. L’agnostique peut toutefois, être « critique » quant à certains préceptes religieux, et quant aux actions des fidèles qui revendiquent « l’accomplissement de la volonté divine ». Mais la plupart des agnostiques y sont totalement indifférents. L’agnosticisme n’est donc pas antithéiste. À l’inverse, toute tentative de prosélytisme à leur égard, est mal perçue car nul ne peut prétendre apporter la preuve de l’existence de Dieu (en l’état actuel des connaissances de l’Homme ou, à jamais, selon les individus). Un croyant croit autant en Dieu qu’un agnostique assume sa conception philosophique, même si ce dernier la considère comme plus objective. En fait, l’attitude d’un agnostique est surtout fonction du « degré de scepticisme » de sa position. Un partisan de l’APP aura tendance à être plutôt tolérant et compréhensif, car il « conçoit » les arguments des croyants, et reconnait, plus ou moins, la possibilité de leur position. Tandis qu’à l’opposé, un partisan de l’ADP tendra vers une attitude plus critique, considérant les arguments religieux comme intégralement infondés et irrecevables, et n’affiche donc au mieux que de l’indifférence, si ce n’est, parfois, du mépris. Les plus radicaux en appellent d’ailleurs à une certaine restriction de l’activité publique des institutions religieuses, car ils estiment qu’elles ne devraient pas être autorisées à véhiculer des théories cosmogoniques infondées (aujourd’hui, ou, à jamais) en les présentant comme « vérité absolue ». L’agnosticisme est donc souvent, attaché au concept de laïcité; et, sans être antireligieux, il reconnait souvent sa conviction comme étant, plus ou moins teintée d’anticléricalisme8.
    En réalité, il faut savoir que l’opposition entre croyants et agnostiques concerne davantage la question de l’intervention de Dieu dans les affaires humaines que celle de son existence. La plupart des religions affirment tenir leur savoir de révélations par leur Dieu, ce qui en fait une « connaissance sacrée », hors de portée de l’analyse scientifique. Or, un agnostique tient d’abord compte des informations apportées par les sciences (c’est-à-dire les connaissances démontrées ou prouvées) et, malgré la difficulté pour elle d’étudier le domaine religieux (en vertu du principe du NOMA9), la Science apporte, chaque jour, d’importantes informations fiables sur la nature de notre environnement et nous enseigne à relativiser la place de l’homme dans l’univers. L’écart observé tend à devenir tellement grand qu’il dé-crédibilise l’hypothèse de l’ingérence des dieux dans les affaires humaines, et donc aussi la plupart des révélations dont se prévalent les religions. Il est envisageable que le(s) Dieu(x) des religions puissent être des entités de nature supérieures, mais il est invraisemblable qu’ils aient créé l’Univers en s’intéressant d’aussi près à l’humanité de la manière que cela est décrit dans les Écrits religieux, qui font presque toujours référence d’une part à la « création » et « au fonctionnement du Monde », et d’autre part, à des interventions ponctuelles et localisées de leur(s) Dieu(x)10. Il y a donc un problème de disproportion dans les rapports Dieu(x)/Hommes tels que décrits par les religions. Par conséquent, l’agnosticisme tend plutôt à considérer les religions comme des constructions sociales et culturelles, qui auraient surtout la fonction de permettre la cohésion sociale (le mot «religion» vient entre autres du latin «religare»=relier: Relier Dieu et les hommes, mais aussi les hommes entre eux), mais, en l’absence de preuves établies scientifiquement, l’agnosticisme soutient qu’on ne peut prendre au sérieux leurs affirmations comme des indices objectifs de l’existence de(s) Dieu(x)11.
    L’agnosticisme adopte ainsi une attitude de « parfaite neutralité » envers les religions, du moins tant qu’elles respectent les droits fondamentaux de la personne humaine. L’annulation des sacrements ou assimilés (telle la débaptisation dans le Christianisme) n’est nullement nécessaire aux agnostiques, ces derniers n’attachent pas d’importance aux divers rites religieux. Les fêtes religieuses, comme Pâques, Noël, Yom Kippour, ou l’Aïd el-Kebir peuvent être tout aussi bien célébrées. Elles sont perçues, tout simplement, comme des fêtes traditionnelles. De même, un agnostique peut se rendre à l’intérieur des édifices religieux si bon lui semble afin, par exemple, d’y contempler l’architecture, ou pour des raisons de convention sociale. Il n’y a aucune interdiction ou doctrine liée au fait d’être agnostique, puisque l’agnosticisme ne suit ,par définition, aucun « précepte absolu » , si ce n’est «suivez votre raison aussi loin qu’elle vous mènera et ne prétendez pas que des conclusions sont certaines quand elles ne sont pas démontrées ou quand elles sont indémontrables»12. C’est pourquoi l’agnosticisme peut se concilier avec une certaine pratique religieuse; chacun étant libre, à défaut de certitude scientifique, de suivre sa foi, comme il lui plaira. En cela, l’agnosticisme rejoint l’adage de Blaise Pascal : « Le Cœur a ses raisons que la Raison ne connaît pas. » Il faut donc plutôt assimiler l’agnosticisme à un courant de pensée philosophique qu’à une religion.

    Le Coran condamne les «mécréants» ainsi que les «faux croyants», nommés les «hypocrites», mais pas spécifiquement, les agnostiques. Il se peut que l’agnosticisme n’ait jamais été envisagé dans l’Arabie du VIIe siècle, car ni les hadiths ni le Coran ne l’évoquent. Concrètement, l’histoire de la théologie musulmane est jalonnée de doutes: au VIe siècle, Burzoe, ministre du roi sassanide Khosro Ier, exprime ses doutes concernant la vérité des religions de son époque, soupçonnant leurs enseignements d’être vides de sens, et considérant les croyants comme les victimes d’une illusion. Cette pensée a influencé très tôt l’Islam, initiant une tradition de libre-pensée et de littérature sceptique qui a conduit au scepticisme des missionnaires ismaëliens, ainsi qu’à celui de Al-Ghazâlî au XI-XIIe siècle13. Cependant, le doute, en Islam, ne porte pas sur l’existence même de Dieu, mais sur la définition d’une pratique de son culte sur Terre. Si comme le pensent des théologiens de plusieurs religions et quelques philosophes comme Platon ou Plotin le sentiment du Dieu unique est inné en la nature humaine, il n’y a pas besoin de preuve de son existence; les révélations ne concernent alors que les modalités du culte à lui rendre, par gratitude d’abord, et accessoirement pour obtenir une éventuelle rédemption dans la vie éternelle.
    Toutefois il reste possible que, dans la recherche intellectuelle de Dieu, le doute quant à son existence même soit temporairement toléré par l’islam (soit dans le cadre de la pensée spéculative, soit dans un moment de désarroi), mais la condition reste d’aboutir, au final, au monothéisme définitif, et donc la reconnaissance soumise à Allah par le biais des enseignements attribués à Mahomet son prophète14). De ce fait, ce sont plus particulièrement l’athéisme et l’ADP, c’est-à-dire le refus inébranlable de reconnaître Allah, qui sont absolument condamnés.
    Mahomet a conseillé par ailleurs à ses compagnons de ne pas se polariser sur des questions qui les dépassent. Selon le livre « At-Targhîb wa At-Tarhîb », Mahomet conseille à ses compagnons : « Méditez sur la création de Dieu, ne méditez point sur Son Essence, car vous ne l’estimerez pas comme Il doit l’être»15 Concrètement, cette idée a été reprise par les théologiens musulmans rationalistes sous la forme d’un «agnosticisme religieux», qui affirme l’existence d’un fossé infranchissable entre Dieu et sa création qu’il transcende, rendant impossible toute prédiction ou connaissance à son sujet. En cela, ils rejoignent partiellement l’ADP, qui préconise de délaisser totalement les réflexions sur le divin16.
    Cet agnosticisme partiel, en rappelant les limites conceptuelles humaines, s’accorde sur ce point avec les religions dites de la révélation. En effet, la révélation ne se définit pas comme un phénomène objectif librement observable par tous, mais comme une «  »confidence » » divine seulement adressée à une minorité très restreinte d’humains ayant la chance d’être élus pour recevoir des révélations inaccessibles humainement, par la grâce de Dieu. Hors de la révélation, personne n’a le droit dans cette optique d’affirmer – a fortiori imposer – quelque interprétation que ce soit concernant des questionnements dépassant en principe l’entendement humain; de sorte que l’on ne pourrait rien attendre de l’analyse scientifique et rationnelle sur ces sujets.

    Composition des selles dites normales :
    Les selles (de 150 à 200 g par jour) sont le résidu de la digestion des aliments après leur passage dans le système digestif (transit digestif).
    Leur composition est fonction de la pratique alimentaire1. Les selles dites normales contiennent 75 à 85 % d’eau et 18 à 22 % de matières sèches.
    Ces matières sèches sont elles-mêmes constituées essentiellement de :
    85 à 90 % de composés organiques (fibres de cellulose, constituant essentiel des végétaux et des fibres musculaires non digestibles),
    5 à 7 % d’azote
    3 à 5 % de phosphore (P2O5)
    1 à 2,5 % de potassium (K2O). À noter que toute diarrhée s’accompagne d’une fuite de potassium.
    et les habituels germes saprophytes (non dangereux pour la santé) constituant la flore intestinale.
    L’intestin sécrète bien de l’albumine, mais celle-ci est digérée et ne se retrouve pas dans les selles. On y trouve par contre quelques enzymes encore actives, comme la chymotrypsine et de nombreuses bactéries.
    Leur coloration brune est due aux pigments biliaires : stercobiline et urobiline.
    Chez une personne dite saine, on n’y trouve que peu de lipides, mais beaucoup de fibres et de graisses non digérables.
    Le rapport C/N, qui indique la vitesse à laquelle se dégrade un composé organique, oscille entre 5 et 10.

    Derien.
    Bye.

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